Heureusement les choses ne se passent pas ainsi. C'est parce qu'il est possible de savoir, de connaître que l'on peut éventuellement conclure à son impossibilité ponctuelle et passagère, pas le contraire.
Et c'est bien normal. Quand Albert EINSTEIN déclare que « ce qu'il y a d'incompréhensible c'est que le monde soit compréhensible » Werner HEISENBERG lui rétorque « qu'il n'y a là rien d'incompréhensible puisque c'est nous qui posons le monde », il situe parfaitement la problématique de connaissance.
Sommes-nous étrangers dans un monde à éventuellement connaître ? Où sommes-nous parties intégrantes de ce monde à éventuellement connaître ?
Ma réponse est facile à anticiper d'autant que notre liberté fondamentale est perpétuellement à l'oeuvre et que rien ni personne ne peut durablement empêcher son libre fonctionnement... Mais ce n'est que ma réponse
Bonne soirée

