Est-ce à dire que parce que la majorité ce trompe depuis 1000 ans qu'elle à raison, moi c'est comme tu veux, mais tu admet toi même que cette façon de voir est une conception éternaliste et je vois mal comment on peut dire qu'on est bouddhiste dans de tel conditions, puisque ça va à l'encontre de tous les enseignements du bouddha qui prôné la voie du milieu cad ni éternaliste, ni nihiliste et qui de surcroit met l'accent sur anatta, je vois pas comment les explications de sonam peuvent être tenable dans de tel conditions, ya un moment faut aussi être logique.ted a écrit :Florent, restons sérieux.Florent a écrit :Ce qui ne va pas dans les explications de sonam c'est qu'il place les renaissances dans une perspective post-mortem et que de surcroit il y plaque des conceptions morales. De ce fait il s'attache à une notion du moi qui n'a rien à faire dans le bouddhisme.
citons buddhadasa: ......
Buddhadasa précise que depuis plus de 1000 ans, c'est l'interprétation éternaliste de la coproduction conditionnée qui domine dans le bouddhisme. Il dit donc lui-même que son interprétation est minoritaire. Sonam ne fait que s'inscrire dans le courant des traditions actuelles et exprime un point de vue couramment admis par les populations bouddhistes du monde entier.
Peut être qu'un jour, l'interprétation de Buddhadasa sera prééminente. S'il a raison, je le lui souhaite.
L'enseignement du bouddha ne concerne pas une explication de ce qui se passe après la mort mais bien comme le disait justement buddhafan, la libération de dukkha et pas autre chose et ceci concerne notre vie présente et pas autre chose.
Evidemment cette voie intéresse ou pas, mais arrêtons les messages complètement distordue sur l'enseignement du bouddha