Dukkha
Publié : 20 avril 2012, 11:34
Bonjour, il y a un sujet quelques pars qui a aborder le sujet sur Dukkha... Je disais que tout n'est pas dukkha et la personne avec qui je discutais disait tout est dukkha... J'ai reviser mon point de vue:
J'aime cette image: Il y a un gars qui est au centre de l'océan, il ce prend un première vague dans le visage, celui-ci est malheureux, cette vague passe, et il devient heureux, quelques instants qui suivre, une autre vague le frappe et le revoilà heureux... Il y avait sur la plage un éveillé qui regardait la scène et il dit: Celui-ci est un sot, il prend le bonheur pour le creux d'une vague, en espérant être épargnier de la vague, ce pauvre homme ne sait pas que la vague et le creux de la vague sont inséparable, l'un de l'autre, un telle bonheur est un supplice...
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Je vous partage un texte que j'ai écris voilà un bon moment de cela...
<<metta>>
J'aime cette image: Il y a un gars qui est au centre de l'océan, il ce prend un première vague dans le visage, celui-ci est malheureux, cette vague passe, et il devient heureux, quelques instants qui suivre, une autre vague le frappe et le revoilà heureux... Il y avait sur la plage un éveillé qui regardait la scène et il dit: Celui-ci est un sot, il prend le bonheur pour le creux d'une vague, en espérant être épargnier de la vague, ce pauvre homme ne sait pas que la vague et le creux de la vague sont inséparable, l'un de l'autre, un telle bonheur est un supplice...
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Je vous partage un texte que j'ai écris voilà un bon moment de cela...
Je réalise que ce qui nous mets en marche c'est le tanha qui a pour fonction de fuir toutes les formes du dukkha passant par les extrême de l'attaction et de la répulsion....Aujourd’hui, j’ai essayé une nouvelle approche méditative, toujours évidement de la tradition Bouddhiste, qui est l’observation de la position du corps, cette pratique est a mon sens parfait pour comprendre l’absence du libre arbitre et apporte des éléments clé sur la noble vérité du dukkha [la vérité sur ce mal-être intérieur], a mon sens cette méditation doit être sur une période longue pour voir ces effets positif [compréhension] , ce matin, j’ai méditer 3 hrs sur cette approche, une hrs ne permets pas a mon sens de bien pénétrer tout la profondeur de cette pratique, après une heure d’assise, je change de position, je me place debout sans bouger et après un moment je me rassois, j’alterne d’une position a l’autre... L’approche est simple, pouvons nous demeurer constamment dans la même position, la réponse est simple : Non. Rester assis deviens douloureux, rester debout deviens douloureux, rester allonger deviens douloureux, marcher deviens douloureux aussi, n’importe quel position que l’on prend, deviens douloureuse, c’est pourquoi l’on doit changer constamment de position, car sinon cela deviens infernale et c’est là par la sagesse de la méditation que tout deviens intéressant... [Qui n’est pas une intellectualisation, ni un regard affectif, en d’autre mot la sagesse d’un point de vue bouddhiste, n’est pas la vue du cœur, car cela est un regard affectif de la réalité, ni un regard intellectuelle, car cela est un regard de la tête sur la réalité, la sagesse d’un point de vue bouddhiste dépasse largement c’est deux éléments de bas niveau]...
La pratique est très simple, observer la position du corps [assis, debout, en marchant ou allonger], il est important de comprendre que nous ne pouvons pas rester constamment et indéfiniment dans la même position, l’on doit changer de position... L’on demeure dans une position sans bouger et l’on observe l’apparition de la douleur et la cessation de la douleur, l’on comprend que le bien-être procurer par le corps est impermanent, transitoire, que croire que l’on peut être toujours bien physiquement est une absurdité totale, l’on sait cela non pas par un regard affectif [du cœur], ni par une intellectualisation [tête], ni parce que c’est écrit, ni parce que je le dis, mais bien parce que nous en fessons directement l’expérience...
L’on observe avec équanimité et pleine conscience ce qui ce produit, la douleur ce produit, quand la douleur ce produit le désir de bouger ce produit, il faut bien comprendre que ce n’est pas un soi, qui veux bouger, mais uniquement un désir de bouger apparait, car la douleur est présent et l’on change de position, la douleur cesse et parce que la douleur cesse, le désir de bouger cesse, c’est une causalité et il n’y a pas un soi essence, ni de libre arbitre dans tout cela, ce sont juste des phénomènes en interdépendance, quand la douleur ce produit, le désir de bouger ce produit, quand la douleur cesse, le désir de bouger cesse, c’est par la sagesse de la méditation que l’on peut vraiment comprendre cela, ni par l’analyse intellectuelle, ni par le cœur, mais uniquement par la sagesse...
En fait cette expérience nous fait comprendre directement que tout désir a pour but de fuir une douleur, non pas pour être heureux, car cela est une compréhension totalement fausse, mais bien pour fuir une douleur, par exemple si l’on ressent disons la faim, cela est une douleur, alors le désir de manger ce produit, il n’y a pas un libre arbitre qui prend la décision de vouloir manger, c’est la douleur de la faim qui produit un inconfort et c’est de cette inconfort que le désir naît et jamais d’un libre arbitre ou d’une entité propre, car simplement l’action de manger est déterminer par une cause, qui est l’inconfort de la faim, c’est du conditionnement a l’état pure. Libre arbitre et conditionnement a l’état pure sont incompatible l’un envers l’autre simplement, l’on ne pas accepter les deux a la fois, c’est impossible et incohérent... Cette méditation mets en relation direct non pas avec une philosophie inutile, mais bien avec la réalité tel quel ce produit, une douleur ce produit, le désir de changement ce produit, la douleur cesse, le désir de changement cesse. Ce n’est pas plus compliquer que cela...
Dans la vie de tout les jours, il est difficile de voir cela par la sagesse, c’est uniquement a travers la méditation que l’on peut vraiment comprendre par notre expérience propre, ce que tout cela signifie réellement et pas autrement, c’est impossible...
Tout nos mouvements sont toujours pour fuir une douleur soit physique ou mental, l’on n’agi jamais pour être heureux, jamais, car cela est confus avec l’idée de bonheur, si l’on change de position ce n’est pas pour être bien, c’est pour fuir la douleur, de même que manger n’est pas pour être bien, mais pour fuir une douleur, de même que ce vêtir, boire, fumer, ect. ... Tout est pour fuir une douleur. L’on veut un partenaire dans sa vie, non pas pour être heureux, mais pour ne pas vivre la solitude, l’on veut se séparer non pas pour être heureux, mais pour fuir ce qui nous déplait, l’on a envie peut-être de liberté... L’on ne va pas ce baigné pour être heureux, mais pour fuir la sensation désagréable de la chaleur... L’on travail, non pas pour être heureux, ni pour être responsable, mais par peur de souffrir d’un manque... Tout est dans cette optique, les idées de recherche du bonheur sont erronés, ce n’est pas voir la réalité tel quel est en réalité, tel quel ce produit en nous...
Cette expérience mets en relation direct avec la compréhension de la vérité du mal-être, de l’absence d’existence propre du soi et l’impermanence des phénomènes composés... Je veux poussez cette pratique dans les jours qui suivent...
Amitié
<<metta>>