Pour ma part je vois dans Goldorak une armure, comme Sourire (mais je ne serais pas d'accord sur le parallèle avec Jolly Jumper, qui est un être vivant doté de pensée indépendante, donc autre chose). Bon, on pourrait discuter longtemps. On devrait ouvrir un fil sur la BD et le manga... love_3
Sinon, rien à ajouter aux diverses méthodes qui ont été signalées : personnellement, je pratique plutôt l'éloignement des conditions génératrices des akusala, et l'observation lorsque ceux-ci se produisent. Je ne suis pas assez douée pour générer leurs opposés.
Comment résister aux pulsions malsaines ?
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
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Sourire
J'ai fait un parallèle au niveau du lien
Pas au niveau de Jolly et Goldorak... Mais c'est vrai que j'aurais été plus inspirée de choisir l'épée du chevalier (il y a dans les traditions occidentales ou japonaises des épées qui ont comme qui dirait une âme = ça n'en fait pas des objets animés)
Dans le même ordre d'idées, le vaisseau d'Albator aussi a une âme = celle de son ingénieur qui se sentant mourir, a organisé le transfert de son esprit dans la machine. (Ca c'est de la renaissance bien menée !). Très rationnellement expliqué, et en même temps très conforme à l'esprit japonais empreint de bouddhisme et de shintoisme, ce vaisseau.
Je m'arrête là...
Comme tu dis, on est pas dans un fil sur le manga. On est même pas dans celui sur les renaissances.
Pas au niveau de Jolly et Goldorak... Mais c'est vrai que j'aurais été plus inspirée de choisir l'épée du chevalier (il y a dans les traditions occidentales ou japonaises des épées qui ont comme qui dirait une âme = ça n'en fait pas des objets animés)
Dans le même ordre d'idées, le vaisseau d'Albator aussi a une âme = celle de son ingénieur qui se sentant mourir, a organisé le transfert de son esprit dans la machine. (Ca c'est de la renaissance bien menée !). Très rationnellement expliqué, et en même temps très conforme à l'esprit japonais empreint de bouddhisme et de shintoisme, ce vaisseau.
Je m'arrête là...
Comme tu dis, on est pas dans un fil sur le manga. On est même pas dans celui sur les renaissances.
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Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
love_3 Merci Sourire pour cette bouffée de rajeunissement avec l'évocation d'Albator !!
Mais c'est vrai que j'aurais été plus inspirée de choisir l'épée du chevalier
apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
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Jean
Peut être aussi dans la religion catholique, le corps peut être considéré, comme le fourneau et l'épée comme l'âme.
Cela décrit peut être l'état de conscience correspondait aux énergies centralisées dans le canal central et dans le Yoga Hindouiste la kundalini éveillée.
Ce serait un archétype que l'on retrouverait dans différentes traditions.
L'état de conscience ou les énergies sont centralisée est au delà de la conceptualisation, c'est le silence, les énergies sont pures et la pleine conscience très éveillée.
Ensuite viennent les états de conscience correspondant aux dissolution des énergies ou chaque dissolution augmente d'intensité la pleine conscience.
le prana dans le canal central est appelé "Prana de sagesse". Sagesse vis à vis des vues fausses, mais aussi sagesse qui dissout les nuages des attitudes mentales, émotions, images, pensées.
Dans l'Hindouisme, la définition d'un yogi est celle d'une personne qui garde ses pranas rassemblés dans le canal central.
Cela décrit peut être l'état de conscience correspondait aux énergies centralisées dans le canal central et dans le Yoga Hindouiste la kundalini éveillée.
Ce serait un archétype que l'on retrouverait dans différentes traditions.
L'état de conscience ou les énergies sont centralisée est au delà de la conceptualisation, c'est le silence, les énergies sont pures et la pleine conscience très éveillée.
Ensuite viennent les états de conscience correspondant aux dissolution des énergies ou chaque dissolution augmente d'intensité la pleine conscience.
le prana dans le canal central est appelé "Prana de sagesse". Sagesse vis à vis des vues fausses, mais aussi sagesse qui dissout les nuages des attitudes mentales, émotions, images, pensées.
Dans l'Hindouisme, la définition d'un yogi est celle d'une personne qui garde ses pranas rassemblés dans le canal central.
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Sourire
On pourrait, oui...
Mais dans la tradition médiévale, l'épée est un corps en elle-même.
A noter que si les épées médiévales occidentales ont une âme, c'est parce que leur pommeau est un reliquaire. Les sabres de samourai tiennent la leur de leur histoire propre et des influences qu'ils ont subies, en particulier lors de leur fabrication.
Dans One Piece, l'un des trois sabre de l'épéiste est un sabre maudit (d'où une tendance à se battre sans qu'on lui aie demandé).
Le fourreau dans la tradition médiévale occidentale serait plutôt un élément féminin. Mais c'est à rattacher à la tradition des troubadours, pas forcément à celle de l'Eglise. Dans le Conte du Graal, c'est avec les cheveux d'une jeune fille qu'est fabriquée la chainette de suspension de l'épée de Galaad. Elle donne aussi son sang et sa vie pour achever la magie, car cette chainette aura des effets protecteurs. L'élément féminin est supposé fragile et influençable mais apaisant et capable d'une ténacité qui peut contrer la fougue de l'élément masculin.
A d'autres époques, je ne sais pas... Mais au Moyen-Age, le fourreau est relatif à la fin du combat. Pas spécialement à la notion de l'âme dans le corps (puisque l'âme de l'épée est déjà dans sa garde).
Mais dans la tradition médiévale, l'épée est un corps en elle-même.
A noter que si les épées médiévales occidentales ont une âme, c'est parce que leur pommeau est un reliquaire. Les sabres de samourai tiennent la leur de leur histoire propre et des influences qu'ils ont subies, en particulier lors de leur fabrication.
Dans One Piece, l'un des trois sabre de l'épéiste est un sabre maudit (d'où une tendance à se battre sans qu'on lui aie demandé).
Le fourreau dans la tradition médiévale occidentale serait plutôt un élément féminin. Mais c'est à rattacher à la tradition des troubadours, pas forcément à celle de l'Eglise. Dans le Conte du Graal, c'est avec les cheveux d'une jeune fille qu'est fabriquée la chainette de suspension de l'épée de Galaad. Elle donne aussi son sang et sa vie pour achever la magie, car cette chainette aura des effets protecteurs. L'élément féminin est supposé fragile et influençable mais apaisant et capable d'une ténacité qui peut contrer la fougue de l'élément masculin.
A d'autres époques, je ne sais pas... Mais au Moyen-Age, le fourreau est relatif à la fin du combat. Pas spécialement à la notion de l'âme dans le corps (puisque l'âme de l'épée est déjà dans sa garde).
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Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
Sourire a écrit :A noter que si les épées médiévales occidentales ont une âme, c'est parce que leur pommeau est un reliquaire.
J'ai une dague rituelle bouddhiste (p'ourba) et son pommeau (la tête) contient aussi des reliques de grands Maîtres dzogchens. Excellent de voir ces rapprochements d'une culture à l'autre.apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).