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cette histoire de narines ma rappelle un exercice de yoga que je fais parfois... Jamais essayé contre la douleur.
Douleur physique : quelles pratiques pour l'apaiser ?
- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
Moi je ne fais pas vraiment par les narines, mais comme si j'étais une éponge, ou un aimant à noirceurs.
apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
Je ne sais pas trop... La comparaison m'est venue parce que cet exercice consiste à respirer alternativement par l'une et l'autre
Sinon... Je sais pas.
Un truc très-très-très con que j'ai employé en méditation contre ce phénomène bizarre qui me fait avoir mal quand le kyesaku résonne dans la pièce, ça a été d'ouvrir en grand les écoutilles à perceptions. Peut-être la même chose que ton éponge à noirceur.
Sinon... Je sais pas.
Un truc très-très-très con que j'ai employé en méditation contre ce phénomène bizarre qui me fait avoir mal quand le kyesaku résonne dans la pièce, ça a été d'ouvrir en grand les écoutilles à perceptions. Peut-être la même chose que ton éponge à noirceur.
- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
Y a de ça, oui. L'ouverture.
apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
Comme je disais plus haut, j'étais sur le siège du dentiste-autant dire que je me sentais n'etre pas grand chose.
Et a un moment, tentant de me concentrer sur la respiration, ce qui semblait peu probant, je me suis relié énergétiquement a lui.....j'ai décidé intentionnellement de lui faire confiance, et collaborer avec ce qu'il faisait....je sentais que ce serait le mieux, pour ne pas alimenter la résistance qui se manifestait inconsciemment.
Après je me suis coulé dans la séance, il faisait son boulot, j'étais la, et en meme temps je ne pensais plus au temps, aux sensations-mais il m'avait fait une anesthésie locale-et ça s'est plutot bien passé y compris après la séance, où il n'y a pas eu de douleur gènante.
Et a un moment, tentant de me concentrer sur la respiration, ce qui semblait peu probant, je me suis relié énergétiquement a lui.....j'ai décidé intentionnellement de lui faire confiance, et collaborer avec ce qu'il faisait....je sentais que ce serait le mieux, pour ne pas alimenter la résistance qui se manifestait inconsciemment.
Après je me suis coulé dans la séance, il faisait son boulot, j'étais la, et en meme temps je ne pensais plus au temps, aux sensations-mais il m'avait fait une anesthésie locale-et ça s'est plutot bien passé y compris après la séance, où il n'y a pas eu de douleur gènante.
love2 love3Dharmadhatu a écrit : Tonglèn, ça peut vraiment aider à se donner du courage... ou à souffrir utile !
Je suis de tout coeur avec toi, Ted. J'ai eu le même souci.
J'aime bien l'idée de "souffrir utile", puis offrir...
C'est sûrement valable pour d'autres maux, douleurs, souffrances... Offrir sa guérison, son bonheur, sa joie sereine, sa gentillesse, sa bonne santé. Cela m'est arrivée rien que de penser très fort à des êtres, comme ça, c'est vraiment une source très forte de courage.
Lausm,
Une détente, la confiance, c'est communicatif... c'est vrai et parfois on a pas le choix, c'est une belle collaboration de compassion. <<metta>>
Cela renvoie de la lumière...