
Je n'aime pas parce que c'était l'occasion pour les mères, belles-mères et tantes chez moi, de faire plein de médisances vengeresses familiales et d'entretenir leur mal-être névrotique, je n'ai pas eu l'impression que cela les a aidé.

Je ne suis pas très série, mais j'ai été très fan de La Petite maison dans la prairie, longtemps, et il y a eu docteur Quinn et Mac Giver ! à une époque...
Mais c'est aussi une question de goùt, d'affinités, de personnes qui se retrouvent dans les histoires car je pense aussi que le cinéma, les films ou séries aident un peu parfois, il y a des films que j'ai aimé et qui m'ont aidé à faire remonter et comprendre des choses, les accepter, mais peut-être sans m'en rendre compte, je réalise parfois après. Mais faut pas que ça tourne en boucle, en arrière tout le temps non plus, car il faut que ça corresponde au présent. Et il faut sortir du film... de l'identification qui peut devenir caricaturale, pesante, cela peut être piégeant, négatif, comme positif. C'est un support, mais en profondeur, pas exactement une psychothérapie.
J'en ai oublié, mais je me souviens de films de fille, que j'ai aimé qui m'ont fait pleurer. Mais aussi sourire...
Au fil du temps je les regarde différemment.