Face à la souffrance il n'y a rien à dire.
J'ai épuisé les mots hier soir, seule la présence avait un sens et aujourd'hui ça crie tout au fond de moi parce que lui c'est moi, elle, toi…il y a une noblesse dans l'abandon de soi, mais c'est une écriture…ça déchire l'air tout autour comme des pétales qui tombent.
J'arrive même pas à dire.
Je t'ai pris la main et puis rien.
Soulagée de voir que tu étais prêt à dormir.
Toi tu sais beaucoup plus que moi…même si ta mémoire s'en va quelquefois.
Il y a des millions de toi, moi, nous... qui se tordent les mots pour expirer les coeurs.
Il y a des millions de toi, moi, nous…qui meurent.
Tes mots au fond de mon coeur, déposés là.
Mes mots tombés dans le tien, lâchés tous seuls...
Maintenant le silence est venu. Il pleuvait aujourd'hui.
Merci.
http://www.damninteresting.com/chuck-bo ... cinations/
But whenever one of us notices something that doesn't exist, or fails to notice something that does exist, our personal version of the world is nudged a little bit further from reality. It makes one wonder how much of reality we all have in common, and how much is all in our minds