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Histoire de la grenouille sourde
Un jour, des grenouilles décident d’organiser une course sur un mur : la première arrivée au sommet est la gagnante.
Elles se placent pour le départ et hop! une vingtaine de petites grenouilles commence à envahir le mur. Au bout de quelques minutes, certaines commencent à fatiguer et quittent la course. En plus, le public d’animaux qui les regarde fait des commentaires peu encourageants : « elles n’y arriveront jamais », « elles sont trop lentes ».
Bientôt, il ne reste qu’une toute petite grenouille qui grimpe lentement, lentement, mais sans lâcher prise, tandis qu’autour d’elle les commentaires se font de plus en plus méchants : « descends, tu n’y arriveras jamais! mais qu’elle est ridicule! »
La petite grenouille lente continue son chemin et arrive vainqueur à la course.
Tous se précipitent autour d’elle pour lui demander sa recette miracle et c’est là qu’on découvre que cette petite championne est tout simplement sourde…
Morale de l’histoire : quand on a un objectif, rester sourd aux attaques est la meilleure des défenses!
..N’écoutez pas les personnes (ou les saboteurs) qui ont la mauvaise habitude d’être négatives…
… elles se nourissent de cette énergie!
Rappellez-vous pour toujours du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez ou que vous lisez…
C’est pourquoi, il faut toujours être… POSITIF !
En résumé :
Soyez toujours sourd quand quelqu’un vous dit que vous ne pouvez réaliser vos rêves.
Quand je marchais parfois en fin de journée, au bord de la rivière, près de la "forêt-bodhisattva", l'été dernier, il y en avait une ribambelle dans leur royaume.
Histoire de la grenouille sourde
Ahh c'est pas être sourd pour de vrai...on peut faire semblant alors...ouf.. j'aime bien ces petites grenouilles 

Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
Au fond, toutes les petites grenouilles souffrent.
Celles qui lancent des commentaires méchants ou stupides, qui ne font pas la course et s'amuse du spectacle.
Celles qui ce sont grouper pour l'ascension et qui entendent les mots méchants dits à la plus petite grenouille la moins apte physiquement.
Et la petite grenouille sourde à tout et à ce drame, qui suit le groupe et tente de se dépasser pour le sommet de l'ascension.
Ascension qui contient sa chute, avec ses survivants.
Et tout ce petit monde crée une course, crée et alimente une souffrance. De la souffrance ajoutée à la souffrance.
Cela pourrait être un autre jeu, intellectuel ou artistique, ou médiatique...
Dans notre société, nous vivons ainsi. Dans la spiritualité parfois aussi.
Mais pour ce qui est du chemin dans le bouddhisme, pour ce qui est du Noble Sentier Octuple, il n'y a pas de supérieur, inférieur, gagnant, perdant, d'intelligent, bête, de beau, belle, mauvaise, bonne, mal, bien... il n'y a pas de compétition.
Ne pas juger sur les apparences, et savoir écouter sa propre souffrance, comme celle des autres.
Celles qui lancent des commentaires méchants ou stupides, qui ne font pas la course et s'amuse du spectacle.
Celles qui ce sont grouper pour l'ascension et qui entendent les mots méchants dits à la plus petite grenouille la moins apte physiquement.
Et la petite grenouille sourde à tout et à ce drame, qui suit le groupe et tente de se dépasser pour le sommet de l'ascension.
Ascension qui contient sa chute, avec ses survivants.
Et tout ce petit monde crée une course, crée et alimente une souffrance. De la souffrance ajoutée à la souffrance.
Cela pourrait être un autre jeu, intellectuel ou artistique, ou médiatique...
Dans notre société, nous vivons ainsi. Dans la spiritualité parfois aussi.
Mais pour ce qui est du chemin dans le bouddhisme, pour ce qui est du Noble Sentier Octuple, il n'y a pas de supérieur, inférieur, gagnant, perdant, d'intelligent, bête, de beau, belle, mauvaise, bonne, mal, bien... il n'y a pas de compétition.
Ne pas juger sur les apparences, et savoir écouter sa propre souffrance, comme celle des autres.
Ce que j'ai remarqué souvent en société, comme pour Nabila ( fil "détente" ) qui est l'objet de commentaires, c'est que les compliments ou critiques publiques servent de valorisation et de dévalorisation par comparaison. Les journaux et la télé sont faits de ça. Comparaison à "la norme", notre "idéal", notre "choix".
C'est triste et c'est ce qui provoque des non-acceptation de soi, de l'autre tel/telle qu'il/elle est, et des choses comme la chirurgie esthétique.Pour qu'il y est de la lumière, il faut de l'ombre, on crée des faire-valoirs, des exacerbations de l'égo.
La non acceptation de l'impermanence...
On ne sait plus faire la différence entre le naturel et l'artificiel, et reconnaître le naturel, aimer sans comparaison aucune.
Et on finit par dénaturer l'être.

C'est triste et c'est ce qui provoque des non-acceptation de soi, de l'autre tel/telle qu'il/elle est, et des choses comme la chirurgie esthétique.Pour qu'il y est de la lumière, il faut de l'ombre, on crée des faire-valoirs, des exacerbations de l'égo.
La non acceptation de l'impermanence...
On ne sait plus faire la différence entre le naturel et l'artificiel, et reconnaître le naturel, aimer sans comparaison aucune.
Et on finit par dénaturer l'être.
