Importance des conditions matérielles et sanitaires
Publié : 23 avril 2013, 11:08
Un moine ou une nonne bouddhiste ont renoncé aux possessions matérielles et donc à l'argent. Mais ces renonçants sont nourris et logés par un monastère. Et toute une communauté de bouddhistes laics vont les aider au quotidien. Les renonçants sont dégagés de tout souci matériel et peuvent se consacrer à la vie sainte. Ce principe est valable dans toutes les religions (je crois).
Le bouddhiste laïc (upasaka et upasika) qui souhaite pratiquer, doit en parallèle :
- se nourrir,
- se vêtir,
- se loger
- et se soigner
Ce n'est pas une chose facile.
Dans certains pays du tiers-monde, la misère, la maladie et la famine font des ravages.
C'est une tâche qui ne doit pas être sous-estimée, à mon avis, car elle impacte notre tranquillité d'esprit. Sauf si on est suffisamment avancé pour accepter les soucis avec sérénité.
Dans ce cas, tout ce qui se présente est une occasion de progresser sur la Voie.
Tout le monde semble d'accord sur le fait qu'il faut un "minimum". Mais où s'arrête le minimum et où commence le superflu ?
Le bouddhiste laïc (upasaka et upasika) qui souhaite pratiquer, doit en parallèle :
- se nourrir,
- se vêtir,
- se loger
- et se soigner
Ce n'est pas une chose facile.

Dans certains pays du tiers-monde, la misère, la maladie et la famine font des ravages.
C'est une tâche qui ne doit pas être sous-estimée, à mon avis, car elle impacte notre tranquillité d'esprit. Sauf si on est suffisamment avancé pour accepter les soucis avec sérénité.

Tout le monde semble d'accord sur le fait qu'il faut un "minimum". Mais où s'arrête le minimum et où commence le superflu ?
