Une belle histoire qu'on m'a raconté aujourd'hui.
Une vieille femme arrêta un jeune homme dans la rue qui était en larmes.
Jeune homme, pourquoi pleurez-vous ?
Je pleure dit l'autre parce que le monde est misérable, et qu'il est empli de souffrance.
Je vois dit la vieille, laissez-moi vous raconter une histoire.
Un jour, Dieu voulu contempler le monde, sa création.
Il regarda les plantes et les trouva gracieuses, il observa les montagnes et les trouva majestueuses, Il observa les animaux et les trouva habiles.
Après cet enchantement, il posa ses yeux sur les hommes et il ne pu s'empêcher de pleurer.
Fin de l'histoire de la rencontre d'un jeune homme en larmes et d'une sage vieille dame.
histoire...
Tentative de culpabilisation manifeste de la part de cette brave dame... Alors qu'elle était peut être tombé sur le garçon le plus gentil de la terre...
Hello Ted,
J'ai réfléchi à ce que tu as dit, et il serait dommage de laisser cela aux oubliettes.
Ce que j'ai compris dans cette histoire, ou disons ce que j'ai mis au premier plan, c'est le fait d'un Dieu compatissant, emphatique. Et que si quelqu'un en vient à pleurer sincèrement sur la souffrance de tous les hommes, il porte en lui la raison même pour laquelle Dieu existe, non à travers de super pouvoir, mais à travers ces larmes qui pourraient être le préambule du chemin altruiste vers lequel, s'il ne s'y est pas encore engagé, s'ouvre devant lui. Ainsi c'est comme si au travers de ses propres larmes, le jeune homme incarnait cette empathie qui pour les chrétiens serait peut-être d'ordre divin.
De plus, on parle dans la religions chrétienne d'un Dieu miséricordieux. Un tel attribut me fait penser à un refuge : Là où le plus misérable des hommes, le plus haït, serait rejeté par tous, il existe un lieu où on le pardonne et où l'on pleur pour lui, quoi qu'il ait fait, un amour inconditionnel.
Mais je comprends ta réaction, il est vrai qu'on pourrait penser que Dieu pleur parce qu'il culpabilise d'avoir créé autant de souffrance si c'est cela que tu veux dire.
J'ai réfléchi à ce que tu as dit, et il serait dommage de laisser cela aux oubliettes.
Ce que j'ai compris dans cette histoire, ou disons ce que j'ai mis au premier plan, c'est le fait d'un Dieu compatissant, emphatique. Et que si quelqu'un en vient à pleurer sincèrement sur la souffrance de tous les hommes, il porte en lui la raison même pour laquelle Dieu existe, non à travers de super pouvoir, mais à travers ces larmes qui pourraient être le préambule du chemin altruiste vers lequel, s'il ne s'y est pas encore engagé, s'ouvre devant lui. Ainsi c'est comme si au travers de ses propres larmes, le jeune homme incarnait cette empathie qui pour les chrétiens serait peut-être d'ordre divin.
De plus, on parle dans la religions chrétienne d'un Dieu miséricordieux. Un tel attribut me fait penser à un refuge : Là où le plus misérable des hommes, le plus haït, serait rejeté par tous, il existe un lieu où on le pardonne et où l'on pleur pour lui, quoi qu'il ait fait, un amour inconditionnel.
Mais je comprends ta réaction, il est vrai qu'on pourrait penser que Dieu pleur parce qu'il culpabilise d'avoir créé autant de souffrance si c'est cela que tu veux dire.
Ce que j'ai compris surtout, c'est qu'elle faisait comprendre au jeune homme qu'en tant qu'être humain, il était la cause du problème dont lui-même se plaignait. D'où ma réponse...