Avec toutes les explications scientifiques actuelles, la méditation commence à être démystifiée.
Enseigner la méditation à l'école est délicat, il faut un très bon enseignant. Mais par contre, apprendre à respirer, apprendre à se relaxer sont déjà des étapes très importantes vers la pratique de la méditation et peuvent être pratiquées plus facilement.
Quelques fois les mots facilitent la compréhension quelques fois ils en éloignent.
Attention, Pleine Conscience, Claire Lumière, Rig Pa, Clarté, vacuité connaissante, espace, plénitude, félicité...
Personnellement, je fais confiance à la nature de Bouddha de l'être humain, . S'ils créent la situation pour que la nature de Bouddha se révèle par la méditation, cela peut se produire. Cela dépends évidemment de la situation de chaque individu. mais il y a des gens ordinaires qui sont plus bienveillants, qui ont plus de compassion que des Bouddhistes certifiés.
Par la méditation toute simple, il peut y avoir des personnes qui expérimentent naturellement leur "point zéro". Qui apprécient cet état, qui y demeurent et qui n'en font pas tout un plat, qui n'y mettent aucune étiquette.
meditation
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NANARD
OUI, mais en continuant la méditation sur la compassion, et l'impermanence, c'est beaucoup plus intéressant. moi,il y à qu'elle que tant de cela, il a fallu piquer mon chien,car il étais souffrant; quelque temps avant,j'ai médité sur
l'impermanence, et cela m'a permis de ne pas souffrir de cette perte. l'attachement est un poison.comme le désir ,etc SURTOUT L’EGO!! rien n' a nous nous ne somme que des locataire de nos biens de notre cor etc.ce n'est pas des blagues!
quant ton n' est mort,...... amicalement
l'impermanence, et cela m'a permis de ne pas souffrir de cette perte. l'attachement est un poison.comme le désir ,etc SURTOUT L’EGO!! rien n' a nous nous ne somme que des locataire de nos biens de notre cor etc.ce n'est pas des blagues!
quant ton n' est mort,...... amicalement
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NANARD
apprêt la pleine conscience; que L4 ESPRIT est COOL, on peu médite sur l'impermanence, la compassion, etc. et;....personnellement, ça marche.amicalement.
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ted
Et qui du coup, ne savent pas quoi en faire peut être ?Jean a écrit : Par la méditation toute simple, il peut y avoir des personnes qui expérimentent naturellement leur "point zéro". Qui apprécient cet état, qui y demeurent et qui n'en font pas tout un plat, qui n'y mettent aucune étiquette.
Qui vont demeurer dans des états paisibles, sans se douter qu'il y a d'autres dhyanas après ?
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Jean
Ted a écrit :
Mais il y a la force d'habitude, l'habitude du lacher prise qui augmentent avec le temps, les aléas de la vie, des évenements dramatiques, tomber amoureux, un beau paysage, tomber gravement malade, qui peuvent provoquer par réactions de lacher prise des expériences plus profondes et aussi il y a la dynamique de nature de Bouddha qui vont jouer.
Le poète a parfois des vues très profondes.
Une chose que j'ignore : Il y a t-il des dyanas dans le Dzogchen? Dans le Zen? Les dyanas me semblent liés à la voie progressive.
Vu sous l'angle du bon coeur, une personne avec un bon coeur naturel a plus de chances de réaliser l'amour inconditionnel naturellement qu'une personne qui a un coeur fluctuant mais qui travaille à réaliser l'amour inconditionnel.
J'imagine que pour une personne qui a bon coeur, avoir le coeur fermé est une expérience d'inconfort, de déséquilibre, de souffrance, c'est un état qu'il veut quitter au plus vite.
De l'amour inconditionnel à la conscience la plus subtile, il n'y a qu'un petit pas ou une autoroute.
Il y a une infinité de cas de figure. Des gens peuvent avoir un bon coeur naturel parce qu'ils ont été éduqué dans l'affection, d'autres qui connaissaient plus la haine ont changé soit en s'appuyant sur une spiritualité soit par une prise de conscience spontanée. Grâce? Effet de la nature de Bouddha?
Il y a des gens qui voient la naissance et la mort comme faisant partie de la Vie. Et ils acceptent qu'à leur mort, ils vont se dissoudre dans la vie. Il n'y a pas de dieu, et ce n'est pas du nihilisme. Ils conçoivent que leur corps, leur ego est né et s'est développé, puis que tout cela va se dissoudre et ils ont bien conscience de l'impermanence de la naissance, de la mort, des générations, des civilisations qui se suivent.
La philosophie d'un scientifique quantique est intéréssante à connaître, comment voit-il sa femme, ses enfants? Comment trouve-t-il une cohérence quand il rentre du travail entre ses connaissances et ses sentiments, ses attachements? Tous les scientifiques quantiques ne sont pas pratiquants Bouddhistes.
C'est une possibilité.Qui vont demeurer dans des états paisibles, sans se douter qu'il y a d'autres dhyanas après ?
Mais il y a la force d'habitude, l'habitude du lacher prise qui augmentent avec le temps, les aléas de la vie, des évenements dramatiques, tomber amoureux, un beau paysage, tomber gravement malade, qui peuvent provoquer par réactions de lacher prise des expériences plus profondes et aussi il y a la dynamique de nature de Bouddha qui vont jouer.
Le poète a parfois des vues très profondes.
Une chose que j'ignore : Il y a t-il des dyanas dans le Dzogchen? Dans le Zen? Les dyanas me semblent liés à la voie progressive.
Vu sous l'angle du bon coeur, une personne avec un bon coeur naturel a plus de chances de réaliser l'amour inconditionnel naturellement qu'une personne qui a un coeur fluctuant mais qui travaille à réaliser l'amour inconditionnel.
J'imagine que pour une personne qui a bon coeur, avoir le coeur fermé est une expérience d'inconfort, de déséquilibre, de souffrance, c'est un état qu'il veut quitter au plus vite.
De l'amour inconditionnel à la conscience la plus subtile, il n'y a qu'un petit pas ou une autoroute.
Il y a une infinité de cas de figure. Des gens peuvent avoir un bon coeur naturel parce qu'ils ont été éduqué dans l'affection, d'autres qui connaissaient plus la haine ont changé soit en s'appuyant sur une spiritualité soit par une prise de conscience spontanée. Grâce? Effet de la nature de Bouddha?
Il y a des gens qui voient la naissance et la mort comme faisant partie de la Vie. Et ils acceptent qu'à leur mort, ils vont se dissoudre dans la vie. Il n'y a pas de dieu, et ce n'est pas du nihilisme. Ils conçoivent que leur corps, leur ego est né et s'est développé, puis que tout cela va se dissoudre et ils ont bien conscience de l'impermanence de la naissance, de la mort, des générations, des civilisations qui se suivent.
La philosophie d'un scientifique quantique est intéréssante à connaître, comment voit-il sa femme, ses enfants? Comment trouve-t-il une cohérence quand il rentre du travail entre ses connaissances et ses sentiments, ses attachements? Tous les scientifiques quantiques ne sont pas pratiquants Bouddhistes.
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NANARD
mais.....a quoi, sert, la méditation assise!moi, quant mon chien est mort! je me suis assis, et j'ai médité sur l'impermanence de toute chose! même de moi même! merci de me donnée des explication amicalement