meditation
Et qui du coup, ne savent pas quoi en faire peut être ?Jean a écrit : Par la méditation toute simple, il peut y avoir des personnes qui expérimentent naturellement leur "point zéro". Qui apprécient cet état, qui y demeurent et qui n'en font pas tout un plat, qui n'y mettent aucune étiquette.
Qui vont demeurer dans des états paisibles, sans se douter qu'il y a d'autres dhyanas après ?
Ted a écrit :
Mais il y a la force d'habitude, l'habitude du lacher prise qui augmentent avec le temps, les aléas de la vie, des évenements dramatiques, tomber amoureux, un beau paysage, tomber gravement malade, qui peuvent provoquer par réactions de lacher prise des expériences plus profondes et aussi il y a la dynamique de nature de Bouddha qui vont jouer.
Le poète a parfois des vues très profondes.
Une chose que j'ignore : Il y a t-il des dyanas dans le Dzogchen? Dans le Zen? Les dyanas me semblent liés à la voie progressive.
Vu sous l'angle du bon coeur, une personne avec un bon coeur naturel a plus de chances de réaliser l'amour inconditionnel naturellement qu'une personne qui a un coeur fluctuant mais qui travaille à réaliser l'amour inconditionnel.
J'imagine que pour une personne qui a bon coeur, avoir le coeur fermé est une expérience d'inconfort, de déséquilibre, de souffrance, c'est un état qu'il veut quitter au plus vite.
De l'amour inconditionnel à la conscience la plus subtile, il n'y a qu'un petit pas ou une autoroute.
Il y a une infinité de cas de figure. Des gens peuvent avoir un bon coeur naturel parce qu'ils ont été éduqué dans l'affection, d'autres qui connaissaient plus la haine ont changé soit en s'appuyant sur une spiritualité soit par une prise de conscience spontanée. Grâce? Effet de la nature de Bouddha?
Il y a des gens qui voient la naissance et la mort comme faisant partie de la Vie. Et ils acceptent qu'à leur mort, ils vont se dissoudre dans la vie. Il n'y a pas de dieu, et ce n'est pas du nihilisme. Ils conçoivent que leur corps, leur ego est né et s'est développé, puis que tout cela va se dissoudre et ils ont bien conscience de l'impermanence de la naissance, de la mort, des générations, des civilisations qui se suivent.
La philosophie d'un scientifique quantique est intéréssante à connaître, comment voit-il sa femme, ses enfants? Comment trouve-t-il une cohérence quand il rentre du travail entre ses connaissances et ses sentiments, ses attachements? Tous les scientifiques quantiques ne sont pas pratiquants Bouddhistes.
C'est une possibilité.Qui vont demeurer dans des états paisibles, sans se douter qu'il y a d'autres dhyanas après ?
Mais il y a la force d'habitude, l'habitude du lacher prise qui augmentent avec le temps, les aléas de la vie, des évenements dramatiques, tomber amoureux, un beau paysage, tomber gravement malade, qui peuvent provoquer par réactions de lacher prise des expériences plus profondes et aussi il y a la dynamique de nature de Bouddha qui vont jouer.
Le poète a parfois des vues très profondes.
Une chose que j'ignore : Il y a t-il des dyanas dans le Dzogchen? Dans le Zen? Les dyanas me semblent liés à la voie progressive.
Vu sous l'angle du bon coeur, une personne avec un bon coeur naturel a plus de chances de réaliser l'amour inconditionnel naturellement qu'une personne qui a un coeur fluctuant mais qui travaille à réaliser l'amour inconditionnel.
J'imagine que pour une personne qui a bon coeur, avoir le coeur fermé est une expérience d'inconfort, de déséquilibre, de souffrance, c'est un état qu'il veut quitter au plus vite.
De l'amour inconditionnel à la conscience la plus subtile, il n'y a qu'un petit pas ou une autoroute.
Il y a une infinité de cas de figure. Des gens peuvent avoir un bon coeur naturel parce qu'ils ont été éduqué dans l'affection, d'autres qui connaissaient plus la haine ont changé soit en s'appuyant sur une spiritualité soit par une prise de conscience spontanée. Grâce? Effet de la nature de Bouddha?
Il y a des gens qui voient la naissance et la mort comme faisant partie de la Vie. Et ils acceptent qu'à leur mort, ils vont se dissoudre dans la vie. Il n'y a pas de dieu, et ce n'est pas du nihilisme. Ils conçoivent que leur corps, leur ego est né et s'est développé, puis que tout cela va se dissoudre et ils ont bien conscience de l'impermanence de la naissance, de la mort, des générations, des civilisations qui se suivent.
La philosophie d'un scientifique quantique est intéréssante à connaître, comment voit-il sa femme, ses enfants? Comment trouve-t-il une cohérence quand il rentre du travail entre ses connaissances et ses sentiments, ses attachements? Tous les scientifiques quantiques ne sont pas pratiquants Bouddhistes.
mais.....a quoi, sert, la méditation assise!moi, quant mon chien est mort! je me suis assis, et j'ai médité sur l'impermanence de toute chose! même de moi même! merci de me donnée des explication amicalement
Le "point zéro" c'est le dhyana ultime.ted a écrit :Et qui du coup, ne savent pas quoi en faire peut être ?Jean a écrit :Par la méditation toute simple, il peut y avoir des personnes qui expérimentent naturellement leur "point zéro". Qui apprécient cet état, qui y demeurent et qui n'en font pas tout un plat, qui n'y mettent aucune étiquette.
Qui vont demeurer dans des états paisibles, sans se douter qu'il y a d'autres dhyanas après ?
Comme un mystère. Le fin fond de toute chose est un mystère. Même pour un scientifique quantique. Et le sentiment religieux est au choix effroi, ébahissement, éblouissement, etc... devant le mystère de l'être, du monde, de la vie. C'est pourquoi la science n'est pas incompatible avec la religion.Jean a écrit :La philosophie d'un scientifique quantique est intéréssante à connaître, comment voit-il sa femme, ses enfants? Comment trouve-t-il une cohérence quand il rentre du travail entre ses connaissances et ses sentiments, ses attachements? Tous les scientifiques quantiques ne sont pas pratiquants Bouddhistes.
A amorcer, alimenter, consolider, automatiser la méditation dans n'importe quelle position.NANARD a écrit :mais.....a quoi, sert, la méditation assise!
Le retour à notre vraie nature ne doit pas se limiter à la position assise. Il faut bien se lever pour faire cuire les pâtes.
Remarque :
Suite de la discussion sur le point 0 : ici
merci à présent, j'ai comprit. VRAIMENT,je te remercie pour cette information.amicalement.JE NE SAIT PAS COMMENT TE REMERCIER. DEPUIS TOUT JEUNE,MON SEUL PLAISIR,A TOUJOURS ÉTÉ DE RENDRE SERVICE à TOUT LES ÊTRES
C'EST POURQUOI J'AI CHOISIS LE BOUDDHISME.ET QUE J' AI CHERCHER UN FORUM POUR APPRENDRE à ÊTRE ENCORE PLUS EFFICACE.
C'EST POURQUOI J'AI CHOISIS LE BOUDDHISME.ET QUE J' AI CHERCHER UN FORUM POUR APPRENDRE à ÊTRE ENCORE PLUS EFFICACE.
Si tu veux progresser, le mieux est de trouver un guide, un lama, un enseignant, un maître.
Le forum ne peut te donner que quelques vagues indications...
Le forum ne peut te donner que quelques vagues indications...
bonjour Ted.je connais une adresse, mais elle est bien trop loin.je fini mon travail à 19:00h.et le quartier n'est pas très sure.j'ai téléphoner au centre bouddhique de Marseille,et je tombe toujours sur une standardiste, qui me dis de venir
au centre.mais 19:00h je ne peu pas. alors ....je finirai bien par trouver un Lama UN JOUR; TRÈS AMICALEMENT A TOI.
au centre.mais 19:00h je ne peu pas. alors ....je finirai bien par trouver un Lama UN JOUR; TRÈS AMICALEMENT A TOI.