Lire un sutra ou caresser un chat : où est la différence ?

Robi

jules a écrit :Je recopie donc cela :

Utiliser bien sa responsabilité, c'est comprendre qu'il y'a interaction entre le Bronx et moi et c'est prendre conscience que si je me ballade bêtement dans ce lieux, je risque d'en payer les conséquences. Donc je suis coupable ou inconsciente si j'y vais et raisonnable et sage si je n'y vais pas.
Je suis irresponsable ou responsable, dans le sens qu'on entend souvent concernant ce mot. Je crois que cela rejoint ce que tu dis.
Ma réponse est au-dessus.
jules a écrit :Bon en tous les cas, c'est une conversation passionnante, merci à toi et à Dharma. Toi tu pousses bien à chercher à être précis et Dharma qui n'est pas moins précis, avance toujours de nouveaux concepts très enrichissants.
Je cherche à être précis et juste. Il n'y a pas de nouveaux concepts avancés, le karma est un concept premier du bouddhisme (pour bien le comprendre il ne faut pas l'isoler d'autres concepts comme l'ego ou les renaissances).
ted

Dharmadhatu a écrit : jap_8 En fait, je viens de voir que Cornu est plutôt bien renseigné sur cette question, et que ce n'était qu'une question de choix d'extraits de la part de Robi ;-) :

P. 301, il rappelle qu'il y a aussi les karmas verbaux et corporels, autant que mentaux.
Et p. 302, il rappelle l'existence des karmas environnementaux (tib. dagpeu drébou).
Merci Christophe.

Je déplace le fil dans Salon de thé.
jap_8
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jules
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Il est probable que lorsqu'on lit un sutra tout en caressant un chat, la compréhension du sutra soit conditionnée par les ronrons du chat... et vice versa. <<metta>>
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