La pratique de Sila (jap : Kai) (Code de conduite vertueuse)
Publié : 24 mars 2016, 10:57
Sila est ce qui met des limites aux exubérances et aux débordements de l’égo.
Rappelons les 5 préceptes destiné aux Upasakas et Upasikas (jap : Ubasoku) qui pourront être porté à 8 les jours d’uposatha :
1 S’efforcer à s’abstenir de léser toute vie
2 S’efforcer à s’abstenir de s’approprier ce qui n’a pas été offert
3 S’efforcer à s’abstenir d’excès dans les plaisirs des sens
4 S’efforcer à s’abstenir de paroles fausses ou inconsidérées
5 S’efforcer à s’abstenir de consommer des boissons alcoolisées
Trop souvent cette pratique est mise de côté ou vu comme un préalable à l’entraînement de l’esprit ( Bhavana), alors que la pratique de Sila est déjà un Bhavana en lui-même.
Sila est un bon moyen, une fois pris les refuges, de cheminer sur la voie du Bouddha, surtout pour ceux qui n’ont pas d’aptitude ou pas le temps de « méditer ».
Il faut savoir aussi que l’on n’est pas obligé de prendre tous les 5 préceptes pour pratiquer Sila, un peut suffire, il vaut mieux en prendre un et le mener à la perfection qu’en prendre 5 et ne pas les respecter, sur le plan karmique cela peut avoir des conséquences désastreuses.
Plus personnellement, je pratique maintenant depuis un bon bout de temps 3 de ces 5 préceptes et ce que je peux dire de mon expérience, c’est que cette pratique m’a apporté beaucoup de bienfaits dans ma vie quotidienne, sans libérer complètement de Dukkha, cette pratique de Sila met déjà un frein à Dukkha et apporte une certaine forme de soulagement. Sila évite aussi de produire des karmas désastreux pour soi même et les autres.
Je suis reconnaissant envers le Bouddha de nous avoir enseigné une telle pratique qui nous soulage du fardeau.
Rappelons les 5 préceptes destiné aux Upasakas et Upasikas (jap : Ubasoku) qui pourront être porté à 8 les jours d’uposatha :
1 S’efforcer à s’abstenir de léser toute vie
2 S’efforcer à s’abstenir de s’approprier ce qui n’a pas été offert
3 S’efforcer à s’abstenir d’excès dans les plaisirs des sens
4 S’efforcer à s’abstenir de paroles fausses ou inconsidérées
5 S’efforcer à s’abstenir de consommer des boissons alcoolisées
Trop souvent cette pratique est mise de côté ou vu comme un préalable à l’entraînement de l’esprit ( Bhavana), alors que la pratique de Sila est déjà un Bhavana en lui-même.
Sila est un bon moyen, une fois pris les refuges, de cheminer sur la voie du Bouddha, surtout pour ceux qui n’ont pas d’aptitude ou pas le temps de « méditer ».
Il faut savoir aussi que l’on n’est pas obligé de prendre tous les 5 préceptes pour pratiquer Sila, un peut suffire, il vaut mieux en prendre un et le mener à la perfection qu’en prendre 5 et ne pas les respecter, sur le plan karmique cela peut avoir des conséquences désastreuses.
Plus personnellement, je pratique maintenant depuis un bon bout de temps 3 de ces 5 préceptes et ce que je peux dire de mon expérience, c’est que cette pratique m’a apporté beaucoup de bienfaits dans ma vie quotidienne, sans libérer complètement de Dukkha, cette pratique de Sila met déjà un frein à Dukkha et apporte une certaine forme de soulagement. Sila évite aussi de produire des karmas désastreux pour soi même et les autres.
Je suis reconnaissant envers le Bouddha de nous avoir enseigné une telle pratique qui nous soulage du fardeau.