Un titre qui va titiller certains ... :
Pour les couche-tard :
Mercredi 23 janvier à 23h40 sur ARTE
Tchô !
My reincarnation - Chögyal Namkhai Norbu
- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
Excellente nouvelle ! Merci beaucoup.
apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
C'était derrière le maître spirituel, l'être humain...Voir un maître spirituel qui est un être huamain, un être huamain qui est aussi un maître spirituel. Ses proches le voient comme un être humain qui est aussi un maître spirituel.
Avoir la responsabilité de transmettre toute une tradition pour pas qu'elle s’éteigne doit être une très lourde responsabilité sur les épaules de l'être humain.
J'ai bien aimé la fin où il dit que si il y avait pas cette obligation morale à transmettre la tradition, il aurait bien aimé être musicien!
Et le fils de renchérir, "On paye ses erreurs de jeunesse toute sa vie!" (avec humour).
Avoir la responsabilité de transmettre toute une tradition pour pas qu'elle s’éteigne doit être une très lourde responsabilité sur les épaules de l'être humain.
J'ai bien aimé la fin où il dit que si il y avait pas cette obligation morale à transmettre la tradition, il aurait bien aimé être musicien!
Et le fils de renchérir, "On paye ses erreurs de jeunesse toute sa vie!" (avec humour).
J'ai retenu le regard du fils, ses questionnements,ses réponses, c'était clair…le père je l'ai trouvé complexe, moins moderne certainement, mais aussi pris entre plusieurs cultures. Le fils en est le pont. J'ai bien aimé les gestes du fils, j'imaginais qu'ils étaient appris depuis longtemps, mais qu'il devaient lentement se les approprier, avec la cohérence de son regard.
Il y a un fossé entre le fils et le père, visible dès le début: culturel et temporel, mais en fait, ce n'est qu'une histoire apparente, le fossé est là pour que le pont s'établisse…
Par delà le message d'une tradition, il y avait tout ces vécus à relier et c'est le point qui m'a frappé: c'était oui, très humain et réaliste. D'ailleurs les dialogues étaient très simples, à cueillir juste comme ça…
J'ai donc aimé des êtres humains et c'était bien…
Un bémol peut-être: il m'a manqué des regards féminins …mais certes, ce n'était le propos de l'histoire ….
Pour le reste, l'aspect tradition et transmission, j'ai rien à dire …
Il y a un fossé entre le fils et le père, visible dès le début: culturel et temporel, mais en fait, ce n'est qu'une histoire apparente, le fossé est là pour que le pont s'établisse…
Par delà le message d'une tradition, il y avait tout ces vécus à relier et c'est le point qui m'a frappé: c'était oui, très humain et réaliste. D'ailleurs les dialogues étaient très simples, à cueillir juste comme ça…
J'ai donc aimé des êtres humains et c'était bien…
Un bémol peut-être: il m'a manqué des regards féminins …mais certes, ce n'était le propos de l'histoire ….
Pour le reste, l'aspect tradition et transmission, j'ai rien à dire …
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
Axis,
Le regard féminin, à travers l'oeil de la caméra, est celui de la réalisatrice et étudiante de ChNN, Jennifer Fox qui a suivi la famille depuis 1988. J'ai vu ses premiers "shootings" et l'ambiance était à l'époque encore très sangha famille. Nous étions un assez petit nombre d'étudiants (y compris ceux des autres nations) autour de lui, et on partageait pas mal des préoccupations familiales. ChNN n'avait pas encore la position de maître "assis" de la stature qu'il a aujourd'hui, c'était beaucoup plus amis/copains/étudiants. La base était d'ailleurs ses édudiants de l'université de Naples.
Mais on est d'accord que la présence féminine est assez fugitive, qu'il s'agisse de Yuchen (Yuden) sa fille ou Rosa sa femme et l'axe est vraiment la relation entre père/maître - fils/disciple/futur maître. On ne pouvait pas tout traiter en si peu de temps...car il y aurait beaucoup, beaucoup plus à montrer.
Le regard féminin, à travers l'oeil de la caméra, est celui de la réalisatrice et étudiante de ChNN, Jennifer Fox qui a suivi la famille depuis 1988. J'ai vu ses premiers "shootings" et l'ambiance était à l'époque encore très sangha famille. Nous étions un assez petit nombre d'étudiants (y compris ceux des autres nations) autour de lui, et on partageait pas mal des préoccupations familiales. ChNN n'avait pas encore la position de maître "assis" de la stature qu'il a aujourd'hui, c'était beaucoup plus amis/copains/étudiants. La base était d'ailleurs ses édudiants de l'université de Naples.
Mais on est d'accord que la présence féminine est assez fugitive, qu'il s'agisse de Yuchen (Yuden) sa fille ou Rosa sa femme et l'axe est vraiment la relation entre père/maître - fils/disciple/futur maître. On ne pouvait pas tout traiter en si peu de temps...car il y aurait beaucoup, beaucoup plus à montrer.
Oui, ce suivi des personnages sur plus de 20 ans donne beaucoup d'épaisseur au film.
Effectivement, un film sur une vie …ou même trois générations, il faut nécessairement faire des choix.
Et l'axe dont tu parles m'a semblé très bien traité…
C'est aussi ce que j'ai pensé. Et je suppose que ton approche directe de la famille te donnerait envie de partager encore.On ne pouvait pas tout traiter en si peu de temps...car il y aurait beaucoup, beaucoup plus à montrer.
Effectivement, un film sur une vie …ou même trois générations, il faut nécessairement faire des choix.
Et l'axe dont tu parles m'a semblé très bien traité…
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
My reincarnation à revoir
encore quelques jours
sur le web : ARTE+7 :
http://videos.arte.tv/fr/videos#/tv/coverflow///1/120/
encore quelques jours
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- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
love_3 C'est ça que je cherchais !!! Merci Tongra ! Trop cool !tongra a écrit :My reincarnation à revoir
encore quelques jours
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apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).