My reincarnation - Chögyal Namkhai Norbu
Un beau documentaire, très intéressant. Merci de l'avoir signalé.
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
A part le fait que le Dzogchen (prononcé Tchotchen dans la vidéo !! ) n'est pas seulement le pinacle des enseignements du Bouddhisme tibétain mais aussi du Bouddhisme indien, le film est super.
Magnifique plat dans la piscine de Rinpotché !
La complicité vers la fin entre le père et le fils fait chaud au coeur.
Bref, excellent !
Magnifique plat dans la piscine de Rinpotché !
La complicité vers la fin entre le père et le fils fait chaud au coeur.
Bref, excellent !
apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
Un autre très bon document!
ChNN joue de la flute mais aussi de l'harmonica!
http://www.youtube.com/watch?v=ehv3JSMMxrU
ChNN joue de la flute mais aussi de l'harmonica!
http://www.youtube.com/watch?v=ehv3JSMMxrU
Dernière modification par Jean le 27 janvier 2013, 14:42, modifié 1 fois.
excellent ! et très émouvant ... Merci Tongra !
PS: c'est à te dégouter d'être un maitre un jour !(ça c'est pour la blague ... quoique )
PS: c'est à te dégouter d'être un maitre un jour !(ça c'est pour la blague ... quoique )
Si l'on attendait de la diffusion de ce film un encouragement à suivre la voie tibétaine et à comprendre la réincarnation, c'est plutôt loupé.
Le fils ne cesse de se plaindre de l'attitude de son père qu'il ne voit qu'une fois par an pendant 4 jours au cours desquels d'ailleurs il n'y a aucune relation affective. Il se plaint également que son père s'adresse à lui comme s'il était le fils d'un autre et quand il lui raconte les rêves qu'il fait, celui-ci ne lui répond jamais. Quand il décide d'aller au tibet le fils constate qu'il n'a jamais demandé à être le fils de son père en se posant la question de savoir s'il est une imposture et déclare avoir décidé d'être son maitre et plus son père.
Je ne vois dans tout cela que très peu de chaleur, de compassion et il faut être particulièrement idéaliste pour y trouver quelque chose d'humain, visible dès le début ... (????) même si le Père joue de la flute et de l'harmonica ! si peu.
Du point de vue essentiel du film, il n'est pas exempt de critiques et d'évènements intéressants, par exemple quand le fils au tibet reconnait un paysage de ses rêves avec un monastère qu'il situait à une époque où il n'avait pas été construit. Quand par ailleurs, à propos de son oncle dont il "serait" la réincarnation il déclare ne pas vouloir être l'ombre de quelqu'un et ne pas vouloir conditionner son propre fils, il me semble très moderne et rejoint sa question du début du film où il ne comprend pas la nécessité de reproduire tout celà en se rendant compte "que les gens ont besoin d'histoires, de mythes"
Par contre, le père fait des déclarations qui justifient, peut être, son activité : "je n'ai pas peur de mourir, j'ai peur de vivre" - "la conscience ne meurt pas, elle renait dans une autre enveloppe" - "les phénomènes complexes sont éphémères ! La nature de l'esprit n'est pas le fruit de l'effort"
Ainsi donc, ce film oscille entre anecdotes et réflexions profondes que chacun d'entre nous pourrait faire sans que jamais la moindre vélléité d'explications ne soit fournie sur la ré-incarnation, sujet central du film tout de même.
Le fils ne cesse de se plaindre de l'attitude de son père qu'il ne voit qu'une fois par an pendant 4 jours au cours desquels d'ailleurs il n'y a aucune relation affective. Il se plaint également que son père s'adresse à lui comme s'il était le fils d'un autre et quand il lui raconte les rêves qu'il fait, celui-ci ne lui répond jamais. Quand il décide d'aller au tibet le fils constate qu'il n'a jamais demandé à être le fils de son père en se posant la question de savoir s'il est une imposture et déclare avoir décidé d'être son maitre et plus son père.
Je ne vois dans tout cela que très peu de chaleur, de compassion et il faut être particulièrement idéaliste pour y trouver quelque chose d'humain, visible dès le début ... (????) même si le Père joue de la flute et de l'harmonica ! si peu.
Du point de vue essentiel du film, il n'est pas exempt de critiques et d'évènements intéressants, par exemple quand le fils au tibet reconnait un paysage de ses rêves avec un monastère qu'il situait à une époque où il n'avait pas été construit. Quand par ailleurs, à propos de son oncle dont il "serait" la réincarnation il déclare ne pas vouloir être l'ombre de quelqu'un et ne pas vouloir conditionner son propre fils, il me semble très moderne et rejoint sa question du début du film où il ne comprend pas la nécessité de reproduire tout celà en se rendant compte "que les gens ont besoin d'histoires, de mythes"
Par contre, le père fait des déclarations qui justifient, peut être, son activité : "je n'ai pas peur de mourir, j'ai peur de vivre" - "la conscience ne meurt pas, elle renait dans une autre enveloppe" - "les phénomènes complexes sont éphémères ! La nature de l'esprit n'est pas le fruit de l'effort"
Ainsi donc, ce film oscille entre anecdotes et réflexions profondes que chacun d'entre nous pourrait faire sans que jamais la moindre vélléité d'explications ne soit fournie sur la ré-incarnation, sujet central du film tout de même.
- Dharmadhatu
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- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
Pourquoi penser d'emblée qu'un film relevant du contexte tibétain serait du prosélytisme ?Shakhyam a écrit :Si l'on attendait de la diffusion de ce film un encouragement à suivre la voie tibétaine
Pourquoi ce film perturbe autant tes convictions non-bouddhistes ou anti-tibétaines ? Là est la vraie question.
apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
non, je ne vois pas tout ça DDT , dans l'intervention de shakhyam ; j'y vois juste de l'incompréhension .
Mais peut être que je me trompe shuuuuuuuuuuuuttttt
Mais peut être que je me trompe shuuuuuuuuuuuuttttt
- Dharmadhatu
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- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
J'y ai aussi pensé en voulant poser la question subsidiaire suivante: Ne faut-il pas connaître une tradition, quelle qu'elle soit, avant de la remettre en question ?boudiiii ! a écrit :non, je ne vois pas tout ça DDT , dans l'intervention de shakhyam ; j'y vois juste de l'incompréhension .
Mais peut être que je me trompe shuuuuuuuuuuuuttttt
Puis j'ai zappé car peu importe finalement...
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Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
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youpi_333 color_3 flower_333 love_3 ba11Dharmadhatu a écrit : Puis j'ai zappé car peu importe finalement...
(non , ces smileys sont en trop peut être , je crois que je vais les zapper )