Re: La vue de la Grande Perfection (dzogchen)
Publié : 03 décembre 2017, 12:35
La diaspora dzogchen est régulièrement agitée de remous.
J'ai participé à des fils sur SF où on reprochait à ChNN d'avoir introduit des danses folkloriques tibetaines dans les pratiques.
De même, J.L. Achard sur son forum était très sévère à propos de personnes pourtant très respectées.
Peter Fenner a été critiqué aussi .
Quand on sait comment fonctionne Dzogchen, où tout est accueilli sans discrimination dans l'Etat Naturel, je ne comprends pas cet attachement aux détails... Comme si on pouvait définir ce qui était Dzogchen et ce qui n'était pas Dzogchen ! Ce qui était conforme et ce qui était non-conforme.
Mais comme disait Jean, un ancien membre, c'est le pratiquant qui décide si sa pratique est Dzogchen ou pas !!!
Si vous etes un dzogchenpa et que vous faites zazen, zazen deviendra une pratique dzogchen.
Si vous etes un dzogchenpa et que vous faites vipassana, vipassana deviendra une pratique dzogchen.
Si vous etes un dzogchenpa et que vous faites chiné, chiné deviendra une pratique dzogchen.
Et à l'inverse, aucune pratique ne serait "essentielle" à part l'introduction à l'Etat Naturel par un maître reconnu. Tout le reste de la sadhana ne consistant qu'à stabiliser l'Etat Naturel. Y compris en trompant sa femme, en insultant les passants ou en critiquant les enseignements d'untel ou untel.
Une seconde dans l'Etat Naturel est plus efficace que 10 000 préliminaires.
Donc, on dit aux gens d'aller faire Chiné parce que on comprend qu'ils ont besoin qu'on le leur dise.
Et on dit à d'autres que Chiné est secondaire parce qu'on comprend qu'ils n'en ont pas besoin.
La seule chose indispensable est l'introduction à l'Etat Naturel par un maître reconnu. C'est ce que martelait Serge.
J'ai participé à des fils sur SF où on reprochait à ChNN d'avoir introduit des danses folkloriques tibetaines dans les pratiques.
De même, J.L. Achard sur son forum était très sévère à propos de personnes pourtant très respectées.
Peter Fenner a été critiqué aussi .
Quand on sait comment fonctionne Dzogchen, où tout est accueilli sans discrimination dans l'Etat Naturel, je ne comprends pas cet attachement aux détails... Comme si on pouvait définir ce qui était Dzogchen et ce qui n'était pas Dzogchen ! Ce qui était conforme et ce qui était non-conforme.
Mais comme disait Jean, un ancien membre, c'est le pratiquant qui décide si sa pratique est Dzogchen ou pas !!!
Si vous etes un dzogchenpa et que vous faites zazen, zazen deviendra une pratique dzogchen.
Si vous etes un dzogchenpa et que vous faites vipassana, vipassana deviendra une pratique dzogchen.
Si vous etes un dzogchenpa et que vous faites chiné, chiné deviendra une pratique dzogchen.
Et à l'inverse, aucune pratique ne serait "essentielle" à part l'introduction à l'Etat Naturel par un maître reconnu. Tout le reste de la sadhana ne consistant qu'à stabiliser l'Etat Naturel. Y compris en trompant sa femme, en insultant les passants ou en critiquant les enseignements d'untel ou untel.
Une seconde dans l'Etat Naturel est plus efficace que 10 000 préliminaires.
Donc, on dit aux gens d'aller faire Chiné parce que on comprend qu'ils ont besoin qu'on le leur dise.
Et on dit à d'autres que Chiné est secondaire parce qu'on comprend qu'ils n'en ont pas besoin.
La seule chose indispensable est l'introduction à l'Etat Naturel par un maître reconnu. C'est ce que martelait Serge.