Il suffit de scanner avec votre téléphone portable, le code-barre du produit concerné.
Application YUKA sous IOS et ANDROID
https://yuka.io
Comment savoir si on consomme des additifs nocifs
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ted
L'application Yuka peut vous y aider :
Il suffit de scanner avec votre téléphone portable, le code-barre du produit concerné.
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Sabba danam dhammadanam jinati - Le don du Dhamma surpasse tout autre don Dhammapada
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Merci Ted 
Au passage Frédéric Lopez en avait parlé lors de la dernière émission rendez vous en terre inconnue avec Kev Adams sur France 2.
Il avait évoqué le fait que la solidarité des consommateurs pouvait faire changer les industriels
et c’est assez gonflé sur une chaîne public financée par la pub
Hormis le fait qu'il s'agisse pour moi d'une des rares émissions de TV que je regarde, je trouve le personnage attachant et sincère, en mettant son témoignage sur nangpa la boucle est bouclée
Au passage Frédéric Lopez en avait parlé lors de la dernière émission rendez vous en terre inconnue avec Kev Adams sur France 2.
Il avait évoqué le fait que la solidarité des consommateurs pouvait faire changer les industriels
et c’est assez gonflé sur une chaîne public financée par la pubHormis le fait qu'il s'agisse pour moi d'une des rares émissions de TV que je regarde, je trouve le personnage attachant et sincère, en mettant son témoignage sur nangpa la boucle est bouclée
je trouve que les consommateurs (nous) n'ont pas conscience de leur énorme pouvoir. Le boycott des produits dont on ne veut plus est une arme efficace. Exemple: la prise de conscience à propos de l'huile de palme fait bouger les choses, plusieurs marques n'en n'utilisent plus et le font savoir.
Puisque qu'on parle de conso, je voudrais attirer votre attention sur les produits d'entretien, les cosmétiques, parfums, etc testés sur les animaux.On trouve assez facilement des produits non-testés, pensez-y, lisez bien les étiquettes.
Puisque qu'on parle de conso, je voudrais attirer votre attention sur les produits d'entretien, les cosmétiques, parfums, etc testés sur les animaux.On trouve assez facilement des produits non-testés, pensez-y, lisez bien les étiquettes.
Je rebondis sur ce que tu dis Circé; Surtout qu'il est facile d'utiliser des produits naturels qui ne sont pas testés sur les animaux et qui sont moins nocifs pour notre santé et l'environnement : l'huile de coco par exemple est un très bon hydratant, bicarbonate de soude, vinaigre blanc pour les produits d'entretien ...et en plus, c'est plus économique.
Pour vivre sainement il ne faut pas vivre en Occident
Un exemple :
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1518/Sante/a ... oids.dhtml
Certains produits chimiques utilisés dans les emballages alimentaires, sur les poêles anti-adhésives ou encore dans les vêtements favoriseraient la prise de poids en interférant avec le métabolisme, en particulier chez les femmes, rapporte une étude américaine publiée jeudi.
"Pour la première fois, nos résultats ont permis de découvrir un nouveau cheminement par lequel les PFASs (les substances perfluoroalkyles, Ndlr) pourraient interférer avec la régulation de la masse corporelle chez les humains et de ce fait contribuer à l'épidémie d'obésité", a affirmé Qi Sun, le principal auteur de l'étude, qui travaille au département de nutrition de l'université d'Harvard.
L'étude, publiée dans le journal PLOS Medicine et réalisée dans les années 2000, s'est penchée sur les effets de quatre régimes suivis durant une période de deux ans. La perte de poids et les taux de PFASs dans le sang ont été mesurés chez les 621 participants obèses ou en situation de surpoids. En moyenne, les participants ont perdu 6,4 kilos dans les six premiers mois, mais ont repris 2,7 kilos au cours de l'année et demie suivante.
"Ceux qui ont repris le plus de poids sont aussi ceux qui avaient les taux les plus importants de PFASs dans le sang, et ce lien était plus fort chez les femmes", détaille l'étude. Les PFASs sont présents dans notre environnement depuis 60 ans et ont notamment contaminé l'eau potable près de sites industriels, de bases militaires ou d'usines de traitement des eaux.
"Les résultats indiquent que le fait de limiter ou éviter l'exposition aux PFASs pourrait aider les gens à garder une masse corporelle stable après une perte de poids, en particulier chez les femmes", résume un autre universitaire d'Harvard, Philippe Grandjean, co-auteur de l'étude.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1518/Sante/a ... oids.dhtml
Certains produits chimiques utilisés dans les emballages alimentaires, sur les poêles anti-adhésives ou encore dans les vêtements favoriseraient la prise de poids en interférant avec le métabolisme, en particulier chez les femmes, rapporte une étude américaine publiée jeudi.
"Pour la première fois, nos résultats ont permis de découvrir un nouveau cheminement par lequel les PFASs (les substances perfluoroalkyles, Ndlr) pourraient interférer avec la régulation de la masse corporelle chez les humains et de ce fait contribuer à l'épidémie d'obésité", a affirmé Qi Sun, le principal auteur de l'étude, qui travaille au département de nutrition de l'université d'Harvard.
L'étude, publiée dans le journal PLOS Medicine et réalisée dans les années 2000, s'est penchée sur les effets de quatre régimes suivis durant une période de deux ans. La perte de poids et les taux de PFASs dans le sang ont été mesurés chez les 621 participants obèses ou en situation de surpoids. En moyenne, les participants ont perdu 6,4 kilos dans les six premiers mois, mais ont repris 2,7 kilos au cours de l'année et demie suivante.
"Ceux qui ont repris le plus de poids sont aussi ceux qui avaient les taux les plus importants de PFASs dans le sang, et ce lien était plus fort chez les femmes", détaille l'étude. Les PFASs sont présents dans notre environnement depuis 60 ans et ont notamment contaminé l'eau potable près de sites industriels, de bases militaires ou d'usines de traitement des eaux.
"Les résultats indiquent que le fait de limiter ou éviter l'exposition aux PFASs pourrait aider les gens à garder une masse corporelle stable après une perte de poids, en particulier chez les femmes", résume un autre universitaire d'Harvard, Philippe Grandjean, co-auteur de l'étude.