Quelle place pour les plaisirs simples de la vie ?
Publié : 08 avril 2017, 07:30
Dans l'hédonisme insouciant, il y a cette conscience de l'impermanence des choses, de l'impermanence des plaisirs de la vie, qui va pousser l'adepte à profiter au maximum des plaisirs terrestres avant leur disparition.
Curieusement, n'est-ce pas ce même sentiment d'urgence, lié à la conscience de l'impermanence, qui pousse le pratiquant à chercher sérieusement l'éveil tant que les conditions sont favorables ?
Le second personnage est simplement convaincu que, pour apaiser ses souffrances, il existe une paix, une félicité, une béatitude, plus durable et plus grande que les plaisirs sensuels mondains.
Mais faut-il être déçu par les plaisirs sensuels mondains pour faire le choix de l'éveil ? Il semble que oui puisque les dieux, menant une vie de plaisirs bien stables, en sont incapables.
J'ai un problème : la liste des plaisirs mondains qui m'attirent encore est proprement impressionnante !
Je crois que c'est foutu.
Curieusement, n'est-ce pas ce même sentiment d'urgence, lié à la conscience de l'impermanence, qui pousse le pratiquant à chercher sérieusement l'éveil tant que les conditions sont favorables ?
Le second personnage est simplement convaincu que, pour apaiser ses souffrances, il existe une paix, une félicité, une béatitude, plus durable et plus grande que les plaisirs sensuels mondains.
Mais faut-il être déçu par les plaisirs sensuels mondains pour faire le choix de l'éveil ? Il semble que oui puisque les dieux, menant une vie de plaisirs bien stables, en sont incapables.
J'ai un problème : la liste des plaisirs mondains qui m'attirent encore est proprement impressionnante !
Je crois que c'est foutu.