Le pire est donc à venir et certainement le meilleur mais dans la main !article a écrit : Après la première étape, qui est la simple imitation de la pensée logique, les prochaines années verront l'avènement d'une véritable intelligence cognitive, capable d'imaginer des solutions, d'interpréter des données, même imparfaites, comme le font les humains actuellement. La troisième phase, selon l'étude, sera tout bonnement l'apparition de l'«être humain virtuel», pour après 2030 néanmoins.
Sabba danam dhammadanam jinati - Le don du Dhamma surpasse tout autre don DhammapadaCette intelligence virtuelle sera t'elle capable de comprendre le Dharma ?
Je crois que oui...
J'imagine que nos petits enfants ne sauront plus avec qui ils discutent sur la toile...ils auront des copains robots virtuels et il y aura des trucs formidables et des risques de dérapages, comme maintenant, mais ce sera démultiplié et complexe. On aura peut-être des applications détecteurs de robots, pour savoir à qui l'on parle, et des risques de se perdre dans le virtuel comme cela arrive parfois la réalité.Pour la petite histoire, selon une récente étude en 2030 l'intelligence artificielle atteindra le stade d'être humain virtuel
Oui tout dépend de ce que l'on en fait, de comment on agit, ce qui laisse songeur aussi.Les réseaux sociaux permettent aussi une mise en relation différente du réel qui n'a pas que de mauvais côtés. Sinon on peut dire que le réel a aussi ses mauvais côtés. Le réel et le virtuel finalement, c'est quoi la différence ?
C'est un espace public, avec des interactions comme sur les réseaux alors je crois que oui.Question : Un forum de discussion, c'est considéré comme un réseau social ?
Là, tu parles des groupes type Facebook...qui sont organisés etc... Mais le Facebook "classique" est délaissé par les nouvelles générations.
Les sites spécialisés prédisent sa disparition rapide. Peut être, justement, à cause de ce contrôle potentiel. Et des gens viendront nous dire que c'est pas bien de faire de la discrimination anti IA. Qu'on est des primitifs d'une autre époque.
Le cerveau ne fait aucune différence entre une image réelle et une image virtuelle. Ca a été prouvé depuis longtemps. Et ça recoupe bien les propositions de l'abidharma sur la nature des consciences visuelles, auditives, etc...
, tout ça, dès l'âge de 11 ans !!! Vive les nouveaux parents ! ba11 La robotisation c'est la fin du travail.axiste a écrit : ↑18 juillet 2017, 22:41J'imagine que nos petits enfants ne sauront plus avec qui ils discutent sur la toile...ils auront des copains robots virtuels et il y aura des trucs formidables et des risques de dérapages, comme maintenant, mais ce sera démultiplié et complexe. On aura peut-être des applications détecteurs de robots, pour savoir à qui l'on parle, et des risques de se perdre dans le virtuel comme cela arrive parfois la réalité.Pour la petite histoire, selon une récente étude en 2030 l'intelligence artificielle atteindra le stade d'être humain virtuel
Ça touchera tous les plans de la société. Si ça se trouve on ira chez un dentiste robot pour soigner une dent de sagesse...
On aura tout le temps pour nous : loisirs, culture, contemplations...Tout dépend si le robot est une continuité ou une collatéralité. Un robot peut avoir sa propre existence, tout comme le nouveau né a sa propre existence. Cependant je ne pense pas qu'un robot puisse agir avec créativité parce qu'il sera toujours dénué de conscience, à moins de lui greffer des cellules nerveuses et permettre à un flux de conscience de s'y incarner...Un robot peut-il être créatif, ou se contentera t-il d'appliquer un programme ?
A mon avis un robot ne sera que la projection de son auteur, même si celui ci installe tous les programmes possibles, il ne sera qu'une imitation de l'existant...
Oui, mais en débranchant sa batterie il se retrouve tout seul. C'est assez vulnérable finalement.
Les contraintes, on se les impose. N'est-ce pas l'esprit qui rigidifie le réel ? Si Milarépa veut s'abriter à l'intérieur d'une corne de Yack, il ne s'impose pas d'être trop grand ou la corne trop petite. Le virtuel permet en quelque sorte de s'affranchir de certaines rigidités, et c'est ça qui est exaltant pour beaucoup !ted a écrit :Le cerveau ne fait aucune différence entre une image réelle et une image virtuelle. Ca a été prouvé depuis longtemps. Et ça recoupe bien les propositions de l'abidharma sur la nature des consciences visuelles, auditives, etc...
En revanche, la facilité d'accès au virtuel n'est pas la même que pour l'accès au réel. Pour l'accès au réel, nous sommes limités physiquement, géographiquement, physiologiquement (Hong kong, c'est loin... Les discothèques sont interdites aux mineurs... etc...) C'est à la fois une contrainte et une sécurité.
