Sabbāsava Sutta

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tirru...
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Sabbāsava Sutta

Le Bouddha liste les contaminations qui embourbent l'esprit dans l'ignorance. Ce sont toutes des schémas mentaux et comportementaux que les gens ordinaires utilisent en permanence. Leur abandon est nécessaire pour parvenir à la sagesse, et la réalisation de la libération.

Courtoisie de Christian Maës




Evaṃ me sutaṃ.

En ce temps-là le Bhagavā séjournait près de Sāvatthi, dans le parc d'Anāthapiṇḍika du bois Jéta.

En cette occasion le Bhagavā s'adressa aux bhikkhus :
– Bhikkhus !
– Oui, Seigneur, lui répondirent les bhikkhus.
Le Bhagavā leur dit :
– Je vais vous enseigner, bhikkhus, comment empêcher toutes les contaminations. Ecoutez et faites bien attention, je vais parler.
– Bien, Seigneur, répondirent les bhikkhus.

Et le Bhagavā leur dit ceci :
– C'est à celui qui sait, bhikkhus, à celui qui voit, que j'enseigne l'élimination des contaminations, non à celui qui ne sait pas et ne voit pas. Que sait-il donc, bhikkhus, que voit-il donc, qui lui permette d'éliminer les contaminations ? La considération juste et la considération fausse.1 Quand on considère faussement, bhikkhus, des contaminations non encore apparues apparaissent et les contaminations déjà apparues augmentent. Quand on considère correctement, les contaminations non encore apparues n'apparaissent pas et les contaminations apparues disparaissent. Il y a, bhikkhus, des contaminations qu'il faut éliminer par la vision, des contaminations qu'il faut éliminer par le contrôle, des contaminations qu'il faut éliminer par un bon usage, des contaminations qu'il faut éliminer par une acceptation patiente, des contaminations qu'il faut éliminer par la prudence, des contaminations qu'il faut éliminer en rejetant et des contaminations qu'il faut éliminer en développant.

– Quelles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par la vision ? Ici, bhikkhus, un être ordinaire, ignorant, qui ne peut voir les Purs, qui ne peut connaître la réalité pure et qui n’est pas éduqué à la réalité pure, qui ne peut voir les Grands Hommes, qui ne peut connaître la réalité des Grands Hommes et qui n’est pas éduqué à la réalité des Grands Hommes, ne sait pas avec sagacité quelles réalités prendre en considération ni quelles réalités ne pas prendre en considération. Comme il ne le sait pas, il prend en considération des réalités qu'il ne devrait pas prendre en considération, et il ne prend pas en considération les réalités qu'il devrait prendre en considération.

– Quelles sont donc, bhikkhus, les réalités qu'il prend en considération alors qu'il ne le devrait pas ? Ce sont celles dont la prise en considération permet à la contamination sensorielle2 non encore apparue d'apparaître, à la contamination sensorielle apparue d'augmenter, à la contamination existentielle non encore apparue d'apparaître, à la contamination existentielle apparue d'augmenter, à la contamination par l'aveuglement non encore apparue d'apparaître et à la contamination par l'aveuglement apparue d'augmenter. Telles sont les réalités qu'il prend en considération alors qu'il ne le devrait pas.

– Et quelles sont, bhikkhus, les réalités qu'il ne prend pas en considération alors qu'il le devrait ? Ce sont celles dont la prise en considération amène la contamination sensorielle non encore apparue à ne pas apparaître, la contamination sensorielle apparue à disparaître, la contamination existentielle non encore apparue à ne pas apparaître, la contamination existentielle apparue à disparaître, la contamination par l'aveuglement non encore apparue à ne pas apparaître et la contamination par l'aveuglement apparue à disparaître. Telles sont les réalités qu'il ne prend pas en considération alors qu'il le devrait.

– Comme il prend en considération des réalités qu'il ne devrait pas prendre en considération et qu'il ne prend pas en considération les réalités qu'il devrait prendre en considération, les contaminations non encore apparues apparaissent et les contaminations apparues augmentent. Ainsi prend-il à tort en considération les questions suivantes : “Ai-je existé dans le passé ? N'ai-je pas existé dans le passé ? Qu'étais-je dans le passé ? Comment étais-je dans le passé ? Par quelle succession d'étapes suis-je passé ? Existerai-je dans l'avenir ? N'existerai-je pas dans l'avenir ? Que serai-je dans l'avenir ? Comment serai-je dans l'avenir ? Par quelles étapes passerai-je dans l'avenir ?” Ou bien il s'interroge sur le présent : “Existè-je ? N'existè-je pas ?3 Que suis-je ? Comment suis-je ? D'où vient cet être ? Où va-t-il ?”

– Ces considérations ineptes suscitent l'une des six croyances suivantes : croire fermement qu'on a un moi-autonome, croire fermement qu'on n'a pas de moi-autonome, croire fermement qu'on perçoit un moi-autonome au moyen d'un moi-autonome, croire fermement qu'on perçoit l'absence de moi-autonome au moyen d'un moi-autonome, croire fermement qu'on perçoit un moi-autonome au moyen de l'absence d'un moi-autonome,4 ou croire ce qui suit : “Ce moi-autonome qui est mien, qui parle et qui ressent, fait dans telle ou telle situation l'expérience de l'effet des bons et mauvais kammas ; ce moi-autonome qui est mien est éternel, stable, permanent et de nature immuable, il est semblable aux choses éternelles5 et restera ainsi”. Voilà ce qu'on appelle croyance, piège des croyances, danger des croyances, fausseté des croyances, incertitude des croyances, chaîne des croyances.

Quand il est prisonnier de la chaîne des croyances, l'être ordinaire et ignorant ne se libère pas de la naissance, du vieillissement, de la mort, du chagrin, des lamentations, de la douleur, de l'insatisfaction et du désespoir, il ne se libère pas du malheur, je l'affirme.

– En revanche, bhikkhus, le disciple pur6 et instruit, qui voit les Purs, qui connaît la réalité pure, qui est éduqué dans la réalité pure, qui voit les Grands Hommes, qui connaît la réalité des Grands Hommes et qui est éduqué dans la réalité des Grands Hommes, sait quelles réalités prendre en considération et quelles réalités ne pas prendre en considération. Quelles sont, bhikkhus, les réalités à ne pas prendre en considération qu'il ne prend pas en considération ? Ce sont celles dont la prise en considération permettrait à la contamination sensorielle, à la contamination existentielle et à la contamination par l'aveuglement non encore apparues d'apparaître et à ces mêmes contaminations, apparues, d'augmenter. Telles sont les réalités à ne pas prendre en considération qu'il ne prend pas en considération.

– Et quelles sont, bhikkhus, les réalités à prendre en considération qu'il prend en considération ? Ce sont celles dont la prise en considération amène la contamination sensorielle, la contamination existentielle et la contamination par l'aveuglement non encore apparues à ne pas apparaître et les mêmes contaminations, apparues, à disparaître. Telles sont les réalités à prendre en considération qu'il prend en considération.

– Comme il ne prend pas en considération les réalités à ne pas prendre en considération et qu'il prend en considération les réalités à prendre en considération, les contaminations non encore apparues n'apparaissent pas et les contaminations apparues disparaissent. Il considère correctement : “Ceci est le malheur”, il considère correctement : “Ceci est la source du malheur”, il considère correctement : “Ceci est l'arrêt du malheur”, et il considère correctement : “Ceci est le chemin qui mène à l'arrêt du malheur”.7 Cette considération correcte élimine trois chaînes : la croyance à la personne, l'hésitation, la méprise relative aux observances et aux rites.8
– Telles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par la vision.

– Et quelles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par le contrôle ? Ici, bhikkhus, c’est avec un discernement judicieux que le moine maintient un contrôle vigilant sur la faculté oculaire. S’il ne maintenait pas ce contrôle sur la faculté oculaire, des contaminations perturbantes et brûlantes pourraient se produire. Mais comme il maintient ce contrôle vigilant sur la faculté oculaire, ces contaminations ne se produisent pas. De même, c’est avec un discernement judicieux qu’il maintient un contrôle vigilant sur la faculté auriculaire... sur la faculté nasale... sur la faculté linguale... sur la faculté corporelle... sur la faculté de connaître. – Telles sont les contaminations qu'il faut éliminer par le contrôle.

– Et quelles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par un bon usage ? Ici, bhikkhus, c'est avec un discernement judicieux que le moine utilise le vêtement uniquement pour se protéger du froid, de la chaleur et du contact des taons, des mouches, du vent, de la fournaise et des reptiles, seulement pour cacher les parties impudiques. Il mange la nourriture avec un discernement judicieux, non pour jouer, pour se stimuler, s'embellir ou resplendir, mais seulement pour soutenir son corps et l'entretenir, pour arrêter l'aggression (de la faim) et persévérer dans la vie sainte : “J'éliminerai ainsi l'ancien ressenti (la faim), j'éviterai un nouveau ressenti (l'indigestion) et mon mode de vie sera irréprochable et confortable”. Il utilise le logement avec un discernement judicieux, seulement pour se protéger du froid, de la chaleur, du contact des taons, des mouches, du vent, de la fournaise et des reptiles, seulement pour écarter le danger de la température et jouir de la retraite. Il utilise l'équipement des médicaments contre la maladie avec un discernement judicieux, seulement pour chasser les ressentis morbides et pour guérir. S'il ne faisait pas un bon usage de tout cela, des contaminations perturbantes et brûlantes pourraient se produire.9 Mais comme il en fait bon usage, ces contaminations ne se produisent pas.
– Telles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par un bon usage.

– Et quelles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par une acceptation patiente ? Ici, bhikkhus, c'est avec un discernement judicieux que le moine endure le froid et le chaud, la faim et la soif, le contact des taons, des mouches, du vent, de la brûlure et des reptiles, les paroles blessantes ou déplaisantes, il est capable de supporter des douleurs oppressantes, cruelles, aiguës, déplaisantes ou même mortifères.10 S'il n'endurait pas tout cela patiemment, des contaminations perturbantes et brûlantes pourraient se produire. Mais comme il l'accepte, ces contaminations ne se produisent pas.
– Telles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par une acceptation patiente.

– Et quelles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par la prudence ? Ici, bhikkhus, c'est avec un discernement judicieux que le moine évite les éléphants dangereux, les chevaux fous, les taureaux furieux, les chiens enragés, les serpents, les souches, les épineux, les fosses, les talus, les décharges et les bourbiers. Avec un discernement judicieux il évite de prendre un siège dans un endroit à éviter, de chercher sa nourriture dans des lieux mal famés ou de frayer avec de mauvais amis, quand ce siège, cette fréquentation ou ces mauvais amis pourraient inciter ses sages compagnons dans la vie sainte à le plaindre.11 S'il n'évitait pas tout cela, des contaminations perturbantes et brûlantes pourraient se produire. Mais comme il l'évite, ces contaminations ne se produisent pas.
– Telles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer par la prudence.

– Et quelles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer en rejetant ? Ici, bhikkhus, c'est avec un discernement judicieux que le moine n'accepte pas les pensées de désir : quand une telle pensée apparaît, il la rejette, la repousse, l'élimine et l'anéantit. Il n'accepte pas les pensées d'aversion : quand une telle pensée apparaît, il la rejette, la repousse, l'élimine et l'anéantit. Il n'accepte pas les pensées malveillantes : quand une telle pensée apparaît, il la rejette, la repousse, l'élimine et l'anéantit. Il n'accepte pas que des agents mentaux mauvais et pernicieux apparaissent de façon répétée : quand de tels agents se manifestent, il les rejete, les repousse, les élimine et les anéantit. S'il ne les rejetait pas, des contaminations perturbantes et brûlantes pourraient se produire. Mais comme il les rejette, ces contaminations ne se produisent pas.
– Telles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer en rejetant.

– Et quelles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer en développant ? Ici, bhikkhus, c'est avec un discernement judicieux que le moine développe le facteur-d'éveil vigilance qui s'appuie sur l'isolement, s'appuie sur le détachement, s'appuie sur l'arrêt et tend au renoncement. Avec un discernement judicieux il développe les facteurs-d'éveil examen-des-agents... vigueur... ravissement... tranquillité... concentration... regard-neutre, qui s'appuient sur l'isolement, s'appuient sur le détachement, s'appuient sur l'arrêt et tendent au renoncement.12 S'il ne développait pas ces facteurs, des contaminations perturbantes et brûlantes pourraient se produire. Mais comme il les développe, ces contaminations ne se produisent pas.
– Telles sont, bhikkhus, les contaminations qu'il faut éliminer en développant.

– Et, bhikkhus, quand il a éliminé par la vision les contaminations qu'il faut éliminer par la vision, éliminé par le contrôle les contaminations qu'il faut éliminer par le contrôle, éliminé par un bon usage les contaminations qu'il faut éliminer par un bon usage, éliminé par une acceptation patiente les contaminations qu'il faut éliminer par une acceptation patiente, éliminé par la prudence les contaminations qu'il faut éliminer par la prudence, éliminé par le rejet les contaminations qu'il faut éliminer en rejetant, éliminé par le développement les contaminations qu'il faut éliminer en développant, le moine est réputé avoir empêché toutes les contaminations, coupé toute soif, défait toutes les chaînes et mis fin au malheur grâce à la parfaite compréhension-destruction de l'appréciation (de soi).

Ainsi parla le Bhagavā.

Les bhikkhus furent satisfaits des paroles du Bhagavā et ils s'en réjouirent.





Notes

1. considération fausse : quand on prend pour permanent, heureux, autonome ou beau ce qui est temporaire, malheureux, dépendant et laid. Considération correcte dans le cas contraire, quand on reconnaît toutes choses dans leur vérité.

2. contamination sensorielle :synonyme d'attachement aux plaisirs sensoriels. La contamination existentielle désigne le désir-attachement aux existences dans les sphères extrasensorielles et illimitées, ainsi que le plaisir pris aux absorptions contemplatives quand celui-ci s'accompagne d'une croyance nihiliste ou éternaliste (dans ce cas la contamination existentielle englobe la contamination par les croyances). La contamination par l'aveuglement n'est rien d'autre que la méconnaissance des 4 vérités. Ces trois contaminations s'opposent aux trois formes de délivrance, la délivrance-sans-envie, la délivrance-sans-signe et la délivrance-vacuité

3. N'existè-je pas : Il s'interroge sur l'existence d'un moi-autonome dans les cinq ensembles (khandhas).

4. moi-autonome : En identifiant le moi-autonome avec la perception. Quand on perçoit les autres ensembles, un moi-autonome identifié avec la perception perçoit un moi-autonome reconnu dans les autres ensembles, ou son absence si on n'y perçoit aucun moi-autonome. Et si l'on ne perçoit pas la perception comme un moi-autonome, on arrive à l'une des deux croyances suivantes.

5. choses éternelles :Le soleil, la lune, l'océan, la terre et les montagnes que le monde croit immuables.

6. disciple pur : Ici, le disciple est réputé pur dans la mesure où il s'exerce à la supravoyance en évitant toute erreur, toute souillure mineure.

7. l'arrêt du malheur : Lors de la pratique de la supravoyance, on prend en considération les cinq ensembles qui constituent le malheur, ainsi que le désir initial ou soif, tan°hâ, qui en est la source. Quand on coupe la source, le malheur s'arrête, et l'on voit simultanément la mécanique de l'arrêt : l'octuple chemin.

8. croyance à la personne, l'hésitation, la méprise relative aux observances et aux rites : Croyance à la personne, sakkâyaditthi : on s'identifie au physique, ou on se situe dans le physique, ou on croit émaner du physique comme l'odeur sortant de la fleur, ou on croit être possesseur du physique. Et les 4 mêmes idées pour chacun des 4 autres ensembles, ressenti, perception, composants mentaux, état de conscience. Soit 20 possibilités.

9. des contaminations perturbantes et brûlantes pourraient se produire : Contamination sensorielle quand il désire obtenir ce qu'il n'a pas ou se délecte de ce qu'il a. Contamination existentielle quand il souhaite retrouver la chose dans une bonne destinée ultérieure. Contamination par les croyances quand il croit que c'est lui qui obtient ou n'obtient pas la chose, ou que cette chose est sienne. Et l'ignorance associée aux trois contaminations précédentes constitue la contamination par l'aveuglement.

10. il est capable de supporter des douleurs oppressantes, cruelles, aiguës, déplaisantes ou même mortifères : Il ne tremble pas sous l'effet du froid mais continue imperturbablement à considérer l'objet de sa pratique. Dans le cas de la prudence, contamination sensorielle s'il aspire à ne pas souffrir quand un animal furieux le piétine, contamination existentielle quand il aspire à une future existence où l'on ne trouve pas une telle souffrance, contamination par les croyances quand il pense : “L'animal me piétine”, et l'aveuglement qui accompagne ces 3 contaminations constitue la contamination par l'aveuglement.

11. inciter ses sages compagnons dans la vie sainte à le plaindre : Parce qu'il a commis ou risque de commettre de mauvaises actions.

12. il développe les facteurs-d'éveil : Ces facteurs-d'éveil, ou facteurs-de-réalisation, bojjhaṅga, sont dits mondains quand ils mènent au chemin d'entrée dans le courant, et supramondains pour les 3 autres chemins. Ils sont tous présents à l'instant du chemin, et c'est grâce à leur conjonction que le disciple pur s'éveille du cauchemar des souillures, qu'il pénètre les 4 vérités pures et voit directement le dénouement.
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tirru...
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Autre version du sutta et commentaires intéressants de notre ami Viriya
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axiste
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Merci pour ces liens, des chemins éclairants vers yoniso manasikara, beaucoup d'attention s'offrant à chaque instant...à relire régulièrement pour ma part pour maintenir un cap jap_8
Alors je nous souhaite à tous comme citait Viriya un jour:
les Quatres bases d'accomplissement (iddipada)
- le souhait ardent (chanda iddipada)
- l'effort continue (viriya iddipada)
- l'esprit inébranlable (citta iddipada)
- le discernement, l'investigation du Dhamma (vimamsa iddipada)
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
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cgigi2
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Merci Tirru pour le lien avec forum metta cela me manquait, j'arrivais plus à me connecter, c'est drôle car j'avais justement penser à te demander de faire un lien avec forum metta :) loveeeee
avec metta
gigi FleurDeLotus
Ici et Maintenant pleine attention à la pleine conscience
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yves
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axiste a écrit :à relire régulièrement pour ma part pour maintenir un cap
absolument, c'est un exercice quotidien auquel j'essaye d'habituer mon esprit anjalimetta

merci pour ce sutta love_3
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tirru...
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Merci pour votre intérêt jap_8
cgigi2 a écrit :Merci Tirru pour le lien avec forum metta cela me manquait, j'arrivais plus à me connecter, c'est drôle car j'avais justement penser à te demander de faire un lien avec forum metta :) loveeeee


Effectivement ma chère Gigi certaines contributions du forum metta méritent à plus d'un titre d'être relues loveeeee
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