Ce matin je le suis réveillée avec ces mots: nous avons le choix d'une liberté relative (enfin, c'est peut-être ces mots qui m'ont réveillés, je ne sais plus)...ce qui rejoint ce que vous dites aussi...nous avons le choix d'être plus conscients peut-être, de nous libérer de nos conditionnements et de regarder nos intentions...
Mais en fait, je crois que la phrase exacte était: nous avons l'illusion d'une liberté relative. Je m'en souviens maintenant.
Dans le fond ce que dit Tongra me semble assez clair... <<metta>>
Oui, c'est un peu hors fil sur les bords.
Je ne suis pas sûre...
Envie de rajouter que les choses sont doubles
la liberté est peut-être dans le regard que l'on porte sur ces choses, le lien qu'on décide d'y mettre...
la liberté c'est peut-être s'accorder aux limites apparentes du monde (les formes, les contours, les couleurs, bref, tout ce qui existe...)
Ce qui m'entrave en apparence me libère quelque part:
par exemple, le mur de mon bureau là m'empêche d'aller dehors mais me libère puisque qu'à l'intérieur de mon bureau je peux agir dans un cadre, disons que le mur c'est comme une règle un peu ou une loi…peut-être
en fait les murs contiennent des possibles, ils canalisent les choses, orientent les possibles
ils me permettent de vous parler là sur mon ordi (enfin pas que les murs mais le cadre dans lequel je suis)
les limites ne sont peut-être pas des limites mais des chemins vers le possible
les choses sont toujours doubles
tout dépend où l'on pose son regard …comment on le pose peut-être ?
Quant aux mots, c'est pareil...les mots sont des prisons ou des oiseaux celestes
La question est : qu'est-ce qui nous meut là dedans ? qu'est-ce qui nous fait aller de l'avant ? C'est la question du sens de tout ça...mais je n'ai pas de réponse... crysmiley
Enfin si peut-être...le kamma...