Je suis d'accord, certaines personnes mélangent un peu tout et pourraient penser que certains exercices de pranayama par exemple seraient utiles alors qu'elles peuvent aggraver des désordres psychologiques ou physiques.
Un forum bouddhiste peut-il aider une personne en détresse ?
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Dharmadhatu
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Je suis d'accord, certaines personnes mélangent un peu tout et pourraient penser que certains exercices de pranayama par exemple seraient utiles alors qu'elles peuvent aggraver des désordres psychologiques ou physiques.apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
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ted
Sans vouloir dire du mal d'une profession respectable et qui fait de son mieux : avez-vous déjà vu les dégâts causés par la médecine allopathique psychiatrique sur des personnes "border line", à la limite, qui ressortent de là, bourrées de médicaments, de tranquillisants, de neuroleptiques, d'anxiolytiques, d'antidépresseurs, avec une carte de client testeur premium "première classe" pour l'industrie pharmaceutique ?
Alors, oui, pour les cas graves, direction le médecin.
Mais pour tous les autres : Bouddhisme, Médecines Douces, Huiles Essentielles, Homéopathie, Végétarisme, Chi Qong, Tai chi, Yoga, Méditation, Respiration Consciente, avant qu'il ne soit trop tard.
Alors, oui, pour les cas graves, direction le médecin.
Mais pour tous les autres : Bouddhisme, Médecines Douces, Huiles Essentielles, Homéopathie, Végétarisme, Chi Qong, Tai chi, Yoga, Méditation, Respiration Consciente, avant qu'il ne soit trop tard.
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Lupka
ted a écrit :Sans vouloir dire du mal d'une profession respectable et qui fait de son mieux : avez-vous déjà vu les dégâts causés par la médecine allopathique psychiatrique sur des personnes "border line", à la limite, qui ressortent de là, bourrées de médicaments, de tranquillisants, de neuroleptiques, d'anxiolytiques, d'antidépresseurs, avec une carte de client testeur premium "première classe" pour l'industrie pharmaceutique ?
Oui ... ma femme: j'ai vu les dégâts de ce genre de discours.
Bi polaire type II ... traitée et stable (car la bipolarité est incurable) depuis qu'elle a trouvé un psychiatre incroyable qui l'a diagnostiqué (>40% des bipolaires ne seront jamais diagnostiqués) et la suit de très prêt.Enlèves lui ses anxiolytiques et ses régulateurs de l'humeur et t'as droit le lundi au compte bancaire qui passe à -2000€ et le mercredi les urgences qui t’appellent parce que ta femme a tenté de se faire sauter le caisson.
Je pourrais parler de ma mère, ma soeur, plein de personnes de ma familles dépressifs et non traités ... ma grand mère dépressive grave qui s'est fait sauter la carafe en s'immolant (oui oui vous lisez bien) et j'en passe et des meilleurs.
Faudrait voir à pas confondre coup de blues/mal être/rejet de la société " sniff sniff la vie est dure " et dépression avérée/anxiété aigue/bipolarité & schizophrénie ou un suivi médical et un traitement chimique est nécessaire pour ne pas dire obligatoire
Medite(z) la dessus moi j'vais prendre l'air
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Cathrine
Je suis d'accord avec Lupka. Il y a des cas ou seul le suivi médical peut sauver; ne pas y avoir recours c''est courir un grand risque.
J'ai souffert d'un épisode dépressif majeur grave en 2003; je ne vous donnerai pas les détails de ce que je me suis infligée à ce moment là.
Traitement par anti -dépresseurs et anxiolitiques dans une premier temps, puis psychothérapie qui a duré 3 ans et demi.
Dans une telle période de crise, inutile de parler Dharma, Bouddhisme, méditation....................on n'est pas en état d'entendre quoique ce soit, on veut mourir, c'est tout.
Ensuite, quand on a guéri, il peut se produire des coups de blues, de coups de mou, mais on sait ce qui nous arrive et là les médecines douces et l'aide des autres suffisent.
Oui, un forum peut aider, surtout un forum comme le nôtre où on sait qu'on sera lu, entendu et où on recevra de la sympathie .
Oui, le Bouddhisme est plus qu'une aide dans ces moments là, c'est notre sauveur.Mais il y a des cas où la personne est bien au delà de ce genre d'aide; je le sais pour l'avoir vécu.
J'ai souffert d'un épisode dépressif majeur grave en 2003; je ne vous donnerai pas les détails de ce que je me suis infligée à ce moment là.
Traitement par anti -dépresseurs et anxiolitiques dans une premier temps, puis psychothérapie qui a duré 3 ans et demi.
Dans une telle période de crise, inutile de parler Dharma, Bouddhisme, méditation....................on n'est pas en état d'entendre quoique ce soit, on veut mourir, c'est tout.
Ensuite, quand on a guéri, il peut se produire des coups de blues, de coups de mou, mais on sait ce qui nous arrive et là les médecines douces et l'aide des autres suffisent.
Oui, un forum peut aider, surtout un forum comme le nôtre où on sait qu'on sera lu, entendu et où on recevra de la sympathie .
Oui, le Bouddhisme est plus qu'une aide dans ces moments là, c'est notre sauveur.Mais il y a des cas où la personne est bien au delà de ce genre d'aide; je le sais pour l'avoir vécu.
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ted
- Les Français consomment encore trop de psychotropes
Mais vous n'êtes pas sans savoir que les français se précipitent chez le médecin à la moindre occasion et sont les champions d'Europe pour la consommation excessive de médicaments. Alors, une réflexion au cas par cas mérite d'être lancée...
Lupka, tous mes souhaits de guérison pour ta femme et les personnes de ta famille. <<metta>>Par Damien Mascret - le 16/01/2012
Contre l'anxiété ou l'insomnie, l'usage des benzodiazépines reste élevé. Les Français se placent à la deuxième place européenne, selon un rapport de l'Agence du médicament.
Chaque année, un Français sur cinq consomme au moins une benzodiazépine (type Xanax, Lexomil, Temesta, Seresta…) ou un médicament apparenté (Stilnox, Imovane, Myolastan…), selon le bilan dévoilé lundi soir par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Au total, 22 benzodiazépines sont prescrites en France, essentiellement dans deux indications: l'anxiété et l'insomnie.
Résultat, avec 134 millions de boîtes consommées en 2010, la France se range à la deuxième place, derrière le Portugal pour les anxiolytiques et après la Suède pour les hypnotiques (voir infographies). La baisse amorcée depuis une dizaine d'années marque le pas et la courbe semble même repartir à la hausse depuis deux ans. Mais il faut se méfier des courbes: «La diminution apparente vient surtout d'une baisse des associations de benzodiazépines pour un même patient. Globalement, le nombre d'utilisateurs n'a pas diminué. Nous restons les plus gros consommateurs de psychotropes en Europe», explique le Pr Bernard Bégaud, directeur de l'unité Inserm de pharmaco-épidémiologie à l'université de Bordeaux.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012 ... pes?page=3
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Lupka
La ou je suis choqué c'est l'utilisation de benzodiazépines pour dormir (et lutter contre l'insomnie): dernièrement le médecin de ma mère lui a donné du Seresta pour dormir 
Allo ... allo ! que fait la médecine générale parce que faut pas se leurrer ce sont les généralistes qui sont les fautifs !
Après Xanax Lixomil etc ... certes risque d'accoutumance mais je ne blâme pas ceux qui au quotidien utilisent ces faibles anxiolithiques. Imovane et tout ce qui est a base de zopiclone ca reste des trucs léger pour faire dodo.
Merci Ted mais on ne guerit pas de la bipolarité, on apprends (conjoint inclus) à vivre avec.
Allo ... allo ! que fait la médecine générale parce que faut pas se leurrer ce sont les généralistes qui sont les fautifs !
Après Xanax Lixomil etc ... certes risque d'accoutumance mais je ne blâme pas ceux qui au quotidien utilisent ces faibles anxiolithiques. Imovane et tout ce qui est a base de zopiclone ca reste des trucs léger pour faire dodo.
ted a écrit : Lupka, tous mes souhaits de guérison pour ta femme
Merci Ted mais on ne guerit pas de la bipolarité, on apprends (conjoint inclus) à vivre avec.
En fait nous avons tous placé derrière le terme « personne en détresse » des situations assez différentes.
Bien sûr si derrière cette expression il y a une personne souffrant d’une très grave dépression nerveuse et dans un état suicidaire etc. Bon, oui...
Mais lorsque j’ai dit qu’il me semblait préférable que la douleur s’exprime dans un contexte réel, je pensais plutôt vis à vis d’un ami, d’un membre de la famille, d’un conseiller spirituel (sur un forum bouddhiste le mieux est certainement de renvoyer une personne en détresse vers un conseiller spirituel). Après le forum peut bien sûr tendre une oreille bienveillante mais ce que j’ai voulu dire c’est aussi que dans un contexte humain réel il y a quelque chose d’autre qui peut passer, cela peut être un geste, un regard, quelque chose de relatif à l’énergie etc.
Bien sûr si derrière cette expression il y a une personne souffrant d’une très grave dépression nerveuse et dans un état suicidaire etc. Bon, oui...
Mais lorsque j’ai dit qu’il me semblait préférable que la douleur s’exprime dans un contexte réel, je pensais plutôt vis à vis d’un ami, d’un membre de la famille, d’un conseiller spirituel (sur un forum bouddhiste le mieux est certainement de renvoyer une personne en détresse vers un conseiller spirituel). Après le forum peut bien sûr tendre une oreille bienveillante mais ce que j’ai voulu dire c’est aussi que dans un contexte humain réel il y a quelque chose d’autre qui peut passer, cela peut être un geste, un regard, quelque chose de relatif à l’énergie etc.
L’instant présent 
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ted
Ma femme, qui travaille parfois de nuit, était complètement intoxiquée aux somnifères et au lexomil.
Elle n'arrivait plus à dormir la journée et augmentait la dose à chaque fois.
A son "réveil" en fin d'après-midi, elle frôlait la dépression en se rendant compte qu'elle avait si peu dormi et qu'elle allait avoir du mal à restée éveillée la nuit.
C'était un cauchemar pour elle, un vrai cercle vicieux, avec une accoutumance au lexomil proche de celle d'un drogué.
Je lui ai parlé de satipatthana et de la concentration sur le chakra du coeur pour trouver le sommeil.
Elle m'a fait confiance et a essayé de le faire consciencieusement. Ca a bien marché.
Maintenant, plusieurs années plus tard, elle utilise toujours ces techniques là pour trouver le sommeil et les boites de somnifères et de lexomil sont oubliées.
Elle n'arrivait plus à dormir la journée et augmentait la dose à chaque fois.
A son "réveil" en fin d'après-midi, elle frôlait la dépression en se rendant compte qu'elle avait si peu dormi et qu'elle allait avoir du mal à restée éveillée la nuit.
C'était un cauchemar pour elle, un vrai cercle vicieux, avec une accoutumance au lexomil proche de celle d'un drogué.
Je lui ai parlé de satipatthana et de la concentration sur le chakra du coeur pour trouver le sommeil.
Elle m'a fait confiance et a essayé de le faire consciencieusement. Ca a bien marché.
Maintenant, plusieurs années plus tard, elle utilise toujours ces techniques là pour trouver le sommeil et les boites de somnifères et de lexomil sont oubliées.
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ted
Fort de cette réussite, j'ai abordé le sujet de l'insomnie et de l'angoisse avec une voisine qui se plaignait de migraines, tous les soirs, à la même heure. Comme un métronome. Et qui abusait aussi des somnifères. Je lui parle de satipatthana et de la concentration sur le coeur. Elle me promet d'essayer.
Une semaine plus tard, je la croise, radieuse, épanouie, reposée. "C'est formidable votre truc, ça marche du tonnerre !"
Je suis enchanté.
Deux mois après, je la recroise, sale tête. Elle me dit qu'elle n'a pas assez dormi, qu'elle a des migraines etc...
Etonné, je lui demande si elle n'avait pas réussi à s'en sortir avec mes conseils.
Elle me répond : "Oui, c'est vrai, ça marche bien. Mais c'est trop long avant de s'endormir. Faut être patiente. Quand je suis énervée, je prends un somnifère, ça va plus vite. Mais je réessaierai votre truc pendant les vacances".
Elle était souvent énervée. Plusieurs années plus tard, elle n'a pas l'air d'aller mieux.
Je ne vous dis pas ma tristesse. Que dire ?
Une semaine plus tard, je la croise, radieuse, épanouie, reposée. "C'est formidable votre truc, ça marche du tonnerre !"
Je suis enchanté.
Deux mois après, je la recroise, sale tête. Elle me dit qu'elle n'a pas assez dormi, qu'elle a des migraines etc...
Etonné, je lui demande si elle n'avait pas réussi à s'en sortir avec mes conseils.
Elle me répond : "Oui, c'est vrai, ça marche bien. Mais c'est trop long avant de s'endormir. Faut être patiente. Quand je suis énervée, je prends un somnifère, ça va plus vite. Mais je réessaierai votre truc pendant les vacances".
Elle était souvent énervée. Plusieurs années plus tard, elle n'a pas l'air d'aller mieux.
Je ne vous dis pas ma tristesse. Que dire ?
Pour le Chakra du cœur et le sommeil il y a bien un lien ; l’exercice de Tsa Loung qui s’appelle le Souffle de la force de vie (en relation avec l’ouverture du Chakra du cœur) contribuerait à améliorer le sommeil selon TWR.
Mais cela demande une pratique quotidienne, j’imagine assez mal des effets spectaculaires du jour au lendemain, bref il faut faire quelques efforts ; prendre un cachet, une aspire ou autre (je ne parle pas des médicaments pour les maladies psychiques graves, qu’il n’y ait pas de malentendus), c’est plus facile.
Mais cela demande une pratique quotidienne, j’imagine assez mal des effets spectaculaires du jour au lendemain, bref il faut faire quelques efforts ; prendre un cachet, une aspire ou autre (je ne parle pas des médicaments pour les maladies psychiques graves, qu’il n’y ait pas de malentendus), c’est plus facile.
L’instant présent