et tout de "toi", et voilà ton terrain balayé de bien des "obstacles" et difficultés quotidiennes


ted a écrit :Je renouvelle souvent ma confiance à ceux qui l'ont déçue, parce que j'ai constaté que les gens changent, évoluent, s'améliorent.
Pour comprendre le sens de la vie, de ses conflits et de ses douleurs, il nous faut penser indépendamment de toute autorité, y compris celle des religions organisées.
Lorsque vous vous dites Indien, Musulman, Chrétien, Européen, ou autre chose, vous êtes violents. Savez-vous pourquoi ? C'est parce que vous vous séparez du reste de l'humanité, et cette séparation due à vos croyances, à votre nationalité, à vos traditions, engendre la violence.
Si l'on ne se compare à personne, on devient ce que l'on est.
Créer une séparation entre ce qui « est », et ce qui « devrait être » est la façon la plus illusoire de considérer la vie.
Mais lorsque vous préparez vos enfants à être adaptés à la société, vous les préparez à se faire tuer. Si vous aimiez vos enfants, vous n'auriez pas de guerres.
La vraie religion est pourtant la culture de la liberté dans la recherche de la vérité.
Se mettre à la remorque d'une personnalité, quelque forte qu'elle soit, ou se laisser attirer par une idéologie, ce ne sont pas là les moyens de créer un monde paisible.
Ainsi, dans le domaine religieux, comme dans tous les autres, l'esprit est prisonnier des projections de ses désirs.
Si peu d'entre nous savent aimer ! Par contre, nous sommes très absorbés par les apparences de l'amour.
Les leaders et leurs autorités sont facteurs de détérioration dans n'importe quelle culture. Suivre quelqu'un c'est n'avoir pas de compréhension ; il n'y a là que crainte et conformité, lesquelles aboutissent à la cruauté des États totalitaires et au dogmatisme des Églises.
Le contrôle de l'enseignement par l'État est une calamité. Il n'y a aucun espoir d'établir la paix et l'ordre dans le monde, tant que l'éducation est au service des États ou des Églises.
Dans une société établie sur l'esprit de compétition, il ne peut y avoir de fraternité ; et aucune réforme, aucune dictature, aucune méthode éducative ne l'engendrera. Il est cependant étrange que des mots tels que « système », « institution », aient acquis une telle importance pour nous. Les symboles ont pris la place de la réalité et nous en sommes heureux car la réalité dérange tandis que les ombres réconfortent.
L'éducation conventionnelle ne nous permet d'atteindre que très difficilement à une pensée indépendante. La conformité mène à la médiocrité.
Comprendre la vie c'est nous comprendre nous-mêmes, et voilà le commencement et la fin de l'éducation.
C'est parce que nous sommes si desséchés nous-mêmes, si vides et sans amour que nous avons permis aux gouvernements et aux systèmes de s'emparer de l'éducation de nos enfants et de la direction de nos vies ; mais les gouvernements veulent des techniciens efficients, non des êtres humains, car des êtres vraiment humains deviennent dangereux pour les États et pour les religions organisées. Voilà pourquoi les gouvernements et les Églises cherchent à contrôler l'éducation.
L'éducation dans le vrai sens de ce mot consiste à comprendre l'enfant tel qu'il est, sans lui imposer l'image de ce que nous pensons qu'il devrait être.
Le véritable problème de l'éducation est l'éducateur.
Le prêtre, le politicien, l'homme de loi, le soldat, sont tous là pour « aider » ; mais ces secours détruisent l'intelligence et la liberté.
Chercher la vérité c'est passer de la vitrine d'une boutique à une autre.
La vraie révolution n'est pas celles qui sont sanglantes : elle se produit par le développement de l'intégration et de l'intelligence en des individus qui, par leur vie même, produiront des changements radicaux dans la société.
En essayant de vous conformer à l'idéologie, vous vous oblitéreriez vous-mêmes tandis que ce qu'il a de vrai n'est pas l'idéologie ; la vérité est ce que vous êtes.
Jiddhu krishnamurti
Je ne suis ni machiste ni féministe, pour moi ce sont deux visions "primaires" et erronnées donc injustes;Quand les hommes primitifs trainaient les femmes par les cheveux avant de copuler? Quand les bas instincts étaient la motivation principale de chacun ?
Une goutte de misogynie déclenche un torrent d'absurdités sexistes.ardjopa a écrit :Cela dit, les femmes sont loin, très loin d'être exemplaires non plus, et même si leurs "irrespects" possibles (envers les hommes, entre elles, ou autres êtres ) se font parfois de manières différentes, moins directes, plus sournoises parfois, ni franches, ni physiques, etc, elles peuvent être aussi nuisibles, voire pires parfois; Et je crois qu'au-delà des apparences elles sont de nos jours en situation souvent bien plus "facile" dans certains domaines que les hommes, entre autre pour "trouver des gars, pour copuler etc" et d'autres choses qui en découlent parfois, professionnellement, financièrement ou autres;
Flocon a écrit :Une goutte de misogynie déclenche un torrent d'absurdités sexistes.ardjopa a écrit :Cela dit, les femmes sont loin, très loin d'être exemplaires non plus, et même si leurs "irrespects" possibles (envers les hommes, entre elles, ou autres êtres ) se font parfois de manières différentes, moins directes, plus sournoises parfois, ni franches, ni physiques, etc, elles peuvent être aussi nuisibles, voire pires parfois; Et je crois qu'au-delà des apparences elles sont de nos jours en situation souvent bien plus "facile" dans certains domaines que les hommes, entre autre pour "trouver des gars, pour copuler etc" et d'autres choses qui en découlent parfois, professionnellement, financièrement ou autres;
J'aimerais vraiment qu'il y ait un effort de fait à ce sujet dans le forum. Vraiment.