Vous aurez remarqué que les communautés bouddhistes en France sont surtout calées sur le nouvel an tibétain, le nouvel an chinois, etc...
Pourtant, nos conditionnements en occident nous poussent à émettre des voeux et à vouloir changer nos vies le 31 décembre au soir.
Est-il sage de ne pas utiliser cette opportunité de transformation ?
Les traditions culturelles du sangha semblent jouer un rôle essentiel dans la pratique bouddhiste.
Quel nouvel an pour le bouddhisme en France ?
Je ne sais pas.ted a écrit :Est-il sage de ne pas utiliser cette opportunité de transformation ?
Nous fêtons chez nous trois fois le "Nouvel An" : pour le Nouvel An de l'année civile, pour Rosh Hashannah (Nouvel An juif), pour le Nouvel An chinois. J'adore ces trois fêtes, qui sont très différentes tout en se ressemblant à certains égards. Constituent-elles pour moi des opportunités de transformation, au sens bouddhiste du terme? Peut-être, mais pas forcément plus que d'autres journées festives.
Quand j'étais enfant, je faisais des listes de bonnes résolutions au 1er janvier, je m'en souviens. J'aimais beaucoup ça, mais il y a longtemps que je ne le fais plus : le Nouvel An a donc perdu pour moi, semble-t-il, sa valeur un peu cruciale dans le fil de l'année. C'est peut-être dommage.
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu