Comment méditez-vous la vacuité ?
Exactement. Une fois qu'elle est intégrée ou devenue Soi, littéralement, on la voit partout, tout comme l'impermanence.
Bonsoir,
Meilleurs souhaits,
Dharmadhatu m’a fait savoir que dés qu’il aura un peu de temps, il fera un tour par ici pour répondre à cette question. Patience donc !
Meilleurs souhaits,
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Sabba danam dhammadanam jinati - Le don du Dhamma surpasse tout autre don Dhammapada
Julien44 a écrit :Effectivement, c'est pourquoi j'ai fait une petite intro pour préciser le cadre et demander des techniques pratiques et concrètes qui seraient, en fin de compte, le prolongement du stade initial de l'étude intellectuel.
Pour l'instant, les réponses ne concordent pas vraiment avec "la demande".
Bonjour,
Pour expérimenter une approche de la vacuité quelle serait la technique ? *la demande" semble être : comment pourrait-on pratiquer pour expérimenter la vacuité ?
Je proposerais quelque chose qui me semble assez simple (mais c'est un avis personnel).
Assis en zazen c'est-à-dire dans la posture traditionnelle pour dhyâna, observer que des pensées se manifestent comme si c'était les nôtres. Pourtant si on cherche d'où elles proviennent, qu'elle est leur origine, on ne trouve pas vraiment quoi que ce soit même en regardant de toute part.
Il me semble qu'en essayant cette pratique on peut avoir une première approche de la vacuité.
Ce n'est pas vraiment quelque chose qu'on peut saisir, mais on peut en faire pour ainsi dire l'expérience. chat_33333
-- Kaïkan --
- Kyo gyo sho itto -
L’enseignement, la pratique et le satori sont unité.
- Kyo gyo sho itto -
L’enseignement, la pratique et le satori sont unité.
Merci Tirru. Néanmoins, comme tu peux le constater ce n'est pas une véritable question mais plutôt une demande de retour d'expérience.
Bonjour Kaïkan,Kaïkan a écrit : ↑31 janvier 2018, 22:00Pour expérimenter une approche de la vacuité quelle serait la technique ? *la demande" semble être : comment pourrait-on pratiquer pour expérimenter la vacuité ?
Je proposerais quelque chose qui me semble assez simple (mais c'est un avis personnel).
Assis en zazen c'est-à-dire dans la posture traditionnelle pour dhyâna, observer que des pensées se manifestent comme si c'était les nôtres. Pourtant si on cherche d'où elles proviennent, qu'elle est leur origine, on ne trouve pas vraiment quoi que ce soit même en regardant de toute part.
Il me semble qu'en essayant cette pratique on peut avoir une première approche de la vacuité.
Ce n'est pas vraiment quelque chose qu'on peut saisir, mais on peut en faire pour ainsi dire l'expérience.
Merci d'avoir répondu. C'est comme si la posture permettait de tendre vers une dé-saisie du 1er agrégat(le corps) et que la recherche de l'origine des pensées qui se termine obligatoirement en impasse permettait de tendre vers une dé-saisie des 4 autres agrégats.
Par contre, est-ce pour autant une méditation sur la vacuité ? De quelle vacuité s'agirait-il ?
Encore merci
Pour ma part, c'est au fond de la gratitude que je lâche tout...et là, il n'y a plus trop de questions.une demande de retour d'expérience.
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
Merci axiste. Et dire que depuis au moins mille ans, des moines tibétains s'appliquent un cursus en acier trempé pour arriver à ne plus avoir de questionnement...
chapeau l'artiste ba11
C'est juste que que dans ces moments là, il n'y a rien d'autre. Donc je n'y suis pas.
Mais c'est pas quelque chose de stable, c'est quelque chose qui influe sur ma vie en permanence puisque je ne peux faire abstraction totalement de ces expériences.
Mais c'est pas une chose que j'ai tout le temps en tête, contrairement aux moines qui dédient leur vie au Dhamma.
Ce n'est pas comparable, j'ai une vie de laïc, un boulot, des enfants, des activités éparpillées…
Les grands pratiquants, eux, arrivent à stabiliser leurs expériences.
Les miennes sont juste…ce qu'elles sont et quoique ce soit, c'est déjà beaucoup.
Mais c'est pas quelque chose de stable, c'est quelque chose qui influe sur ma vie en permanence puisque je ne peux faire abstraction totalement de ces expériences.
Mais c'est pas une chose que j'ai tout le temps en tête, contrairement aux moines qui dédient leur vie au Dhamma.
Ce n'est pas comparable, j'ai une vie de laïc, un boulot, des enfants, des activités éparpillées…
Les grands pratiquants, eux, arrivent à stabiliser leurs expériences.
Les miennes sont juste…ce qu'elles sont et quoique ce soit, c'est déjà beaucoup.
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."