il ne sert à rien,
d'essayer d'être le meilleur de l'un et de l'autre,
car votre Nature Profonde
Parfaitement identique,
provient de la même Base
Pure et Inégalée
Ici et Maintenant
avec metta
gigi

cgigi2 a écrit :Antodume et Dharmadhatu,
il ne sert à rien,
d'essayer d'être le meilleur de l'un et de l'autre,
car votre Nature Profonde
Parfaitement identique,
provient de la même Base
Pure et Inégalée
Ici et Maintenant
avec metta
gigi
Voici une ride : Ce qui peut nous sembler comme étant la pire des anneries, peut parfois nous en apprendre d'avantage sur notre propre nature que le discours le plus chiadé qui soit.Sourire a écrit :Quelle différence y a-t-il entre les rides creusées sur une flaque d'eau par un souffle d'air
et celles sur la mer quand le vent se lève ?
Ainsi que je l'ai dit, je ne cherche pas à être meilleur (ni pire) que quiconque ici. Toutefois, si tout ce qui est retenu de ces débats s'assimile une lutte d'egos, alors, il ne sert à rien de débattre car cela signifierait que nous n'avons pas été compris et que l'on nous aura assimilé à des bêtes de cirque (ce que, pour ma part, je ne saurais accepter). De toutes manières, on ne peut pas toujours arriver à un consensus, en particulier quand les vues ne convergent pas.Gigi a écrit :Antodume et Dharmadhatu,
il ne sert à rien,
d'essayer d'être le meilleur de l'un et de l'autre,
car votre Nature Profonde
Parfaitement identique,
provient de la même Base
Pure et Inégalée
Ici et Maintenant
avec metta
Il ne s'agit pas non plus de pousser à l'extrême pour se permettre n'importe quoi. Entre un comportement de folie et une saine colère, il y a un monde. En revanche, une colère réprimée au prétexte de paraître cool (alors même qu'on ne l'est pas) revient à nier la nature même de notre esprit qui s'adapte naturellement aux situations. Un miroir reflète des objets sans ce demander s'il a tort ou raison d'agir ainsi. Dès lors qu'on se demande si on a tort ou raison d'agir de telle ou telle manière en telle circonstance, on est dans le calcul. Ceci n'a rien à voir avec les préceptes. Les préceptes n'existent qu'à partir du moment où l'on a réalisé et intégré sa vraie nature dans le quotidien. Cette vraie nature n'est pas exempte de vagues. Un océan sans vagues, ça n'existe pas. Pourquoi voudrait-on qu'un esprit le soit ? Ça n'a pas de sens. L'homme qui sourit en permanence face aux situations (quelles qu'elles soient) n'est pas un éveillé mais un crétin.Jules a écrit :C'est vrai ce que tu dis antodume sur ces vagues qui sur la surface finissent toujours même après la plus forte des tempêtes par s'appaiser, c'est un peu comme la nature relative de nos comportements qui se résorbent dans leur spécificité, dans l'absolu que représente la mort. Pourtant si on pousse cela à l'extrême, on pourrait finir par penser qu'on puisse dire n'importe quoi, s'énerver, insulter, mépriser, (je ne dis pas que c'est ce que tu fais hein?) car pensons-nous, ce ne sont finalement que des vagues sur l'océan, et alors tout devient permis.
Je te rassure antodume, depuis que vous vous frittez avec Dharmadhattu, et une fois dépassée mon antipatie naturelle pour la polémique qui ne regarde que moi, j'ai trouvé beaucoup de choses dans vos discours respectifs dont je puisse me sustanter.Ainsi que je l'ai dit, je ne cherche pas à être meilleur (ni pire) que quiconque ici. Toutefois, si tout ce qui est retenu de ces débats s'assimile une lutte d'egos, alors, il ne sert à rien de débattre car cela signifierait que nous n'avons pas été compris et que l'on nous aura assimilé à des bêtes de cirque (ce que, pour ma part, je ne saurais accepter). De toutes manières, on ne peut pas toujours arriver à un consensus, en particulier quand les vues ne convergent pas.
gigi dit:il ne sert à rien de débattre car cela signifierait que nous n'avons pas été compris et que l'on nous aura assimilé à des bêtes de cirque (ce que, pour ma part, je ne saurais accepter)